Diffusions passées:

Tropiques amers, Vivre libre ou mourir, diffusion du mardi 29 août 2017 à 01h50

François découvre que le fils d'Adèle, Jean-Baptiste, est en vie. Amédée et Adèle, déchus de leurs privilèges, travaillent dans les champs de canne à sucre. Olympe apprend qu'elle est enceinte de Christian de Chabot et se réconcilie avec Théophile. Celui-ci, craignant l'abolition de l'esclavage, intrigue pour que la Martinique passe sous protectorat anglais. Amédée, qui est né en Jamaïque, parle l'anglais et peut donc servir d'interprète pour les tractations de Théophile. François veut révéler à Adèle, qui se laisse mourir, que son fils est en vie. Amédée l'en dissuade car Adèle fera tout pour le retrouver et les mettrait tous deux en danger de mort... -- Critique : Saint-Pierre de la Martinique, 1788. Entre Olympe, l'aristocrate qui rêve encore des fastes versaillais, et Théophile Bonaventure, le self-made-man à qui la société antillaise et son système esclavagiste a ouvert la route de la prospérité, le fossé est immense. Le premier épisode fait de cette rencontre impossible la toile de fond de Tropiques amers. Mais le fil rouge de cette saga martiniquaise est le parcours long et douloureux d'une jeune esclave, Adèle, vers l'affranchissement. La fille d'Amédée, l'intendant et homme de confiance du maître, va s'éprendre de Koyaba, jeune chef mandingue qui vient d'être raflé en Afrique, tout en devenant l'objet du désir de Théophile... Deux mondes parallèles se côtoient et se mêlent parfois, mais celui des Békés a le pouvoir de vie et de mort sur celui des esclaves. Si la place de chacun y est décrite selon des critères historiques, la crédibilité du projet tient surtout à la qualité de l'interprétation. Jean-Claude Adelin est un Théophile puissamment ambigu, Fatou N'Diaye fait preuve d'une grâce solide, quant à Jean-Michel Martial, il a la carrure patiente d'un sage. Ils nous tiendront en haleine jusqu'à la fin. — Emmanuelle Bouchez

Tropiques amers, Bois d’ébène, diffusion du mardi 29 août 2017 à 00h55

Rosalie, esclave métisse, maîtresse favorite de Théophile, intrigue pour jeter le discrédit sur Adèle. Elle fait en sorte que les maîtres découvrent sa liaison avec Kobaya. Fou de jalousie, Théophile condamne Kobaya à périr par le fouet. L'esclave parvient à fuir. Outrée par la clémence du châtiment réservé à Adèle, Olympe exige qu'elle soit vendue. Son frère, François, s'interpose. Il se fait publiquement humilier par son beau-frère et décide de quitter les lieux. Olympe découvre la vraie nature de son mari... -- Critique : Saint-Pierre de la Martinique, 1788. Entre Olympe, l'aristocrate qui rêve encore des fastes versaillais, et Théophile Bonaventure, le self-made-man à qui la société antillaise et son système esclavagiste a ouvert la route de la prospérité, le fossé est immense. Le premier épisode fait de cette rencontre impossible la toile de fond de Tropiques amers. Mais le fil rouge de cette saga martiniquaise est le parcours long et douloureux d'une jeune esclave, Adèle, vers l'affranchissement. La fille d'Amédée, l'intendant et homme de confiance du maître, va s'éprendre de Koyaba, jeune chef mandingue qui vient d'être raflé en Afrique, tout en devenant l'objet du désir de Théophile... Deux mondes parallèles se côtoient et se mêlent parfois, mais celui des Békés a le pouvoir de vie et de mort sur celui des esclaves. Si la place de chacun y est décrite selon des critères historiques, la crédibilité du projet tient surtout à la qualité de l'interprétation. Jean-Claude Adelin est un Théophile puissamment ambigu, Fatou N'Diaye fait preuve d'une grâce solide, quant à Jean-Michel Martial, il a la carrure patiente d'un sage. Ils nous tiendront en haleine jusqu'à la fin. — Emmanuelle Bouchez

Tropiques amers, Un nouveau monde, diffusion du mardi 29 août 2017 à 00h05

En 1788, le comte de Rochant, aristocrate désargenté, arrive au port de Saint-Pierre de la Martinique en qualité d'intendant au roi de France. Il est accompagné de sa femme, de son fils François et de sa fille Olympe, destinée à Théophile Bonaventure, un riche propriétaire de plantation de canne à sucre. En chemin, les Rochant s'arrêtent à une vente d'esclaves. Olympe est fascinée par Koyaba, un esclave rebelle. Dédaignant les conseils d'Amédée, intendant de son domaine, Théophile cède au caprice de sa future épouse et achète Koyaba. Le mariage est célébré, et la famille de Rochant s'installe dans la plantation. Elle découvre la société antillaise à la veille de la Révolution française... -- Critique : Cette épopée martiniquaise conte le long et douloureux parcours d'Adèle, une jeune esclave, vers l'affranchissement. Un téléfilm réussi, qui doit beaucoup à la qualité d'interprétation de ses trois héros.

Le rôle de la moto au cinéma

Tropiques amers, La dernière marche, diffusion du samedi 26 août 2017 à 22h45

Obéissant à Adèle, Théophile épargne Jean-Baptiste, mais refuse de gracier Rosalie. Bouleversé par la mort de Rosalie, Amédée décide de la venger en révélant à Théophile que Constance n'est pas sa fille. Fou de rage, Théophile frappe Olympe et la tue. Sur les conseils d'Adèle, Constance accepte de s'unir à Sainte-Colombe, un riche planteur. Adèle tente sans succès de tempérer Jean-Baptiste, qui l'accuse de se vendre à Théophile. Avec l'argent de Sainte-Colombe, Adèle peut fermer son tripot et ouvrir une petite maison de couture à Saint-Pierre. Elle découvre qu'elle est enceinte de Théophile et se surprend à aimer cet enfant qu'elle espère être celui de la réparation et de l'espoir...

Le rôle de la moto au cinéma

Tropiques amers, Métisse, diffusion du samedi 26 août 2017 à 21h50

Dix ans ont passé. Théophile est ruiné par les lourdes amendes qu'il a dû payer pour trahison. La plantation s'est délabrée. Les tensions sont telles entre Olympe et Adèle que celle-ci suggère à Théophile de s'installer à Saint-Pierre. Elle y ouvre aussitôt un cercle de jeu et en profite pour passer plus de temps avec son fils, qui a maintenant 18 ans...

Le rôle de la moto au cinéma

Tropiques amers, Trahisons, diffusion du samedi 26 août 2017 à 21h00

Adèle veut dire adieu à son amant. Koyaba la rejette violemment en l'accusant d'avoir provoqué l'échec de la rébellion par sa faiblesse. Les rebelles, dont Amédée, vont être pendus. Adèle s'engage à se soumettre à tous les désirs de son maître s'il laisse la vie sauve à son père. Théophile accepte la proposition et consent à réduire la peine d'Amédée. Il aura la main tranchée. François décide de venir en aide à Adèle, qui est au désespoir. Il brave l'interdit d'Amédée et la conduit à l'orphelinat pour lui présenter son fils, Jean-Baptiste. Adèle retrouve goût à la vie et décide qu'elle fera tout pour que son fils et elle obtiennent leur liberté... -- Critique : C'est un monde qui tangue que décrivent les (toujours très bons) derniers épisodes diffusés ce soir. Le destin d'Olympe Bonaventure est le symbole de ce système qui s'effrite... Un remarquable téléfilm, qui parvient à nous tenir en haleine jusqu'à la fin.

Le rôle de la moto au cinéma

Tropiques amers, Vivre libre ou mourir, diffusion du samedi 19 août 2017 à 22h40

François découvre que le fils d'Adèle, Jean-Baptiste, est en vie. Amédée et Adèle, déchus de leurs privilèges, travaillent dans les champs de canne à sucre. Olympe apprend qu'elle est enceinte de Christian de Chabot et se réconcilie avec Théophile. Celui-ci, craignant l'abolition de l'esclavage, intrigue pour que la Martinique passe sous protectorat anglais. Amédée, qui est né en Jamaïque, parle l'anglais et peut donc servir d'interprète pour les tractations de Théophile. François veut révéler à Adèle, qui se laisse mourir, que son fils est en vie. Amédée l'en dissuade car Adèle fera tout pour le retrouver et les mettrait tous deux en danger de mort... -- Critique : Saint-Pierre de la Martinique, 1788. Entre Olympe, l'aristocrate qui rêve encore des fastes versaillais, et Théophile Bonaventure, le self-made-man à qui la société antillaise et son système esclavagiste a ouvert la route de la prospérité, le fossé est immense. Le premier épisode fait de cette rencontre impossible la toile de fond de Tropiques amers. Car le fil rouge de cette saga martiniquaise est le parcours long et douloureux d'une jeune esclave, Adèle, vers l'affranchissement. La fille d'Amédée, l'intendant et homme de confiance du maître, va s'éprendre de Koyaba, jeune chef mandingue qui vient d'être raflé en Afrique, tout en devenant l'objet du désir de Théophile. Ce téléfilm réussi nous montre de l'intérieur la vie d'une « habitation » où deux mondes parallèles se côtoient et se mêlent parfois, mais dont l'un, celui des « békés », a le pouvoir de vie et de mort sur l'autre, celui des esclaves. Si la place de chacun y est décrite selon des critères historiques dont les scénaristes se sont nourris, la crédibilité du projet tient à la qualité de l'interprétation. Jean-Claude Adelin est un Théophile puissamment ambigu ; Fatou N'Diaye fait preuve d'une grâce solide ; quant à Jean-Michel Martial, il a la carrure patiente d'un sage. Ils nous tiendront en haleine jusqu'à la fin. — Emmanuelle Bouchez

Le rôle de la moto au cinéma

Tropiques amers, Bois d’ébène, diffusion du samedi 19 août 2017 à 21h50

Rosalie, esclave métisse, maîtresse favorite de Théophile, intrigue pour jeter le discrédit sur Adèle. Elle fait en sorte que les maîtres découvrent sa liaison avec Kobaya. Fou de jalousie, Théophile condamne Kobaya à périr par le fouet. L'esclave parvient à fuir. Outrée par la clémence du châtiment réservé à Adèle, Olympe exige qu'elle soit vendue. Son frère, François, s'interpose. Il se fait publiquement humilier par son beau-frère et décide de quitter les lieux. Olympe découvre la vraie nature de son mari... -- Critique : Saint-Pierre de la Martinique, 1788. Entre Olympe, l'aristocrate qui rêve encore des fastes versaillais, et Théophile Bonaventure, le self-made-man à qui la société antillaise et son système esclavagiste a ouvert la route de la prospérité, le fossé est immense. Le premier épisode fait de cette rencontre impossible la toile de fond de Tropiques amers. Car le fil rouge de cette saga martiniquaise est le parcours long et douloureux d'une jeune esclave, Adèle, vers l'affranchissement. La fille d'Amédée, l'intendant et homme de confiance du maître, va s'éprendre de Koyaba, jeune chef mandingue qui vient d'être raflé en Afrique, tout en devenant l'objet du désir de Théophile. Ce téléfilm réussi nous montre de l'intérieur la vie d'une « habitation » où deux mondes parallèles se côtoient et se mêlent parfois, mais dont l'un, celui des « békés », a le pouvoir de vie et de mort sur l'autre, celui des esclaves. Si la place de chacun y est décrite selon des critères historiques dont les scénaristes se sont nourris, la crédibilité du projet tient à la qualité de l'interprétation. Jean-Claude Adelin est un Théophile puissamment ambigu ; Fatou N'Diaye fait preuve d'une grâce solide ; quant à Jean-Michel Martial, il a la carrure patiente d'un sage. Ils nous tiendront en haleine jusqu'à la fin. — Emmanuelle Bouchez

Le rôle de la moto au cinéma

Tropiques amers, Un nouveau monde, diffusion du samedi 19 août 2017 à 20h55