Diffusions passées:

Taxi 2, diffusion du mardi 25 décembre 2018 à 23h00

Retour d'Emilien le keuf et de Daniel le beur fou du volant. Le scénario tient sur un timbre-poste. Pas grave, ça castagne, ça cascade, ça pétérade. Apparemment, ça plaît... mais faut aimer les vannes limite racistes et le bruit des moteurs survitaminés... Critique : Film de Gérard Krawczyk (France, 1999). Scénario : Luc Besson. Image : Gérard Stérin. Musique : Al Khemya. 85 mn. Avec Samy Naceri, Frédéric Diefenthal. Genre : retrait de permis. Samy Naceri affole les radars au volant de sa Peugeot 406 modifiée, et Frédéric Diefenthal (loin, encore, de Clara Sheller...) se laisse affoler par sa collaboratrice aux faux airs d'Ophélie Winter. Le deuxième volet de la « trilogie » Taxi est vraiment le plus rance. On s'interroge notamment sur la frontière entre la blague potache qui fait mouche et le rire beauf qui pèse des quintaux. Est-ce bien utile de déterrer l'expression les « Niacs » et d'en abuser, sous prétexte que les méchants de l'histoire sont japonais ? A quoi bon créer un personnage de femme flic, balèze et polyglotte, si celle-ci doit finalement perdre sa culotte, avant de faire la roue devant ses collègues mâles ? Louis Guichard

Taxi 2, diffusion du dimanche 22 avril 2018 à 21h00

Retour d'Emilien le keuf et de Daniel le beur fou du volant. Le scénario tient sur un timbre-poste. Pas grave, ça castagne, ça cascade, ça pétérade. Apparemment, ça plaît... mais faut aimer les vannes limite racistes et le bruit des moteurs survitaminés... Critique : Film de Gérard Krawczyk (France, 1999). Scénario : Luc Besson. 100 mn. Avec Samy Naceri, Frédéric Diefenthal, Marion Cotillard, Emma Sjöberg, Bernard Farcy. Le genre : retrait de permis. Samy Naceri affole les radars au volant de sa Peugeot 406 modifiée, et Frédéric Diefenthal (bien loin, encore, de Clara Sheller), se laisse affoler par sa collaboratrice aux faux airs d'Ophélie Winter. Le deuxième volet de la « trilogie » Taxi est vraiment le plus rance. On s'interroge notamment sur la frontière entre la blague potache qui fait mouche et le rire beauf qui pèse des quintaux. Est-ce bien utile de déterrer l'expression les « Niacs » et d'en abuser, sous prétexte que les méchants de l'histoire sont japonais ? A quoi bon créer un personnage de femme flic, balèze et polyglotte, si celle-ci doit finalement perdre sa culotte, avant de faire la roue devant ses collègues mâles ? Louis Guichard