Diffusions passées:
Rasta Rockett, diffusion du mardi 19 mars 2019 à 23h00
Les exploits d'une équipe jamaïquaine (!) de bobsleigh aux jeux Olympiques… On résiste difficilement aux gags visuels. Critique : | Genre : chaud et froid loufoque. Espoir de l’athlétisme jamaïcain, Derice Bannock rate sa qualification aux jeux Olympiques. Il décide pourtant de monter une équipe de bobsleigh. Dans ses grandes lignes, l’histoire est authentique : l’équipe jamaïcaine de bobsleigh a défrayé la chronique aux JO d’hiver de Calgary, en 1988, récupérant un engin offert par la sélection américaine. Sans doute ses performances sportives ont-elles été enjolivées. Peu importe : ce qui compte, c’est la bonne humeur et un message qui évite le consensus moralisateur. On résiste difficilement à la sympathie de nos quatre gaillards et aux gags visuels. Remarquons qu’aucun producteur francophone n’a eu l’idée d’une fiction sur les exploits inattendus (et réels, eux) des Lions du Cameroun à la Coupe du monde de foot 1990. Hollywood n’a pas seulement des moyens, mais aussi des idées.
Rasta Rockett, diffusion du mardi 23 octobre 2018 à 22h55
Rasta Rockett, diffusion du dimanche 14 octobre 2018 à 21h00
Rasta Rockett, diffusion du jeudi 01 mars 2018 à 21h00
Les exploits d'une équipe jamaïquaine (!) de bobsleigh aux jeux Olympiques… On résiste difficilement aux gags visuels. Critique : Film de Jon Turteltaub (Cool Runnings, USA, 1993). Scénario : Lynn Siefert, Tommy Swerdlow, Michael Goldberg. Image : Phedon Papamichael. Musique : Hans Zimmer. 105 mn. VF. Avec Leon : Derice Bannock. Doug E. Doug : Sanka Coffie. Rawle D. Lewis :Junior Bevil. John Candy : Irving. Malik Yoba : Yul Brenner. Genre : chaud et froid loufoque. Espoir de l'athlétisme jamaïquain, Derice Bannock rate par malchance sa qualification aux jeux Olympiques. Malgré l'incrédulité catastrophée du comité olympique local, il décide de monter une équipe de bobsleigh... Dans ses grandes lignes, l'histoire est authentique : l'équipe jamaï-quaine de bobsleigh a défrayé la chronique aux JO de Calgary, en 1988, récupérant un engin d'entraînement généreusement offert par la sélection américaine. Sans doute ses performances sportives ont-elles été enjolivées par le scénario. Mais peu importe : ce qui compte, c'est la bonne humeur, un message que ne renierait pas Coubertin, et qui évite pourtant le consensus moralisateur. On résiste difficilement à la sympathie de nos quatre gaillards et aux gags visuels qui raviront les enfants. Remarquons qu'aucun producteur francophone n'a eu l'idée d'une fiction sur les exploits inattendus (et réels, eux !) des Lions du Cameroun à la Coupe du monde de foot 1990. Hollywood n'a pas seulement des moyens, mais aussi des idées... Aurélien Ferenczi