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Le rôle de la moto au cinéma

Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, diffusion du lundi 21 mai 2018 à 13h35

Hollywood, 1947. Roger Rabbit, vedette de dessins animés, soupçonne sa femme, la voluptueuse Jessica, de lui être infidèle. Un détective privé est engagé… Un canevas de film noir, une avalanche de gags et une osmose parfaite entre les toons et les acteurs réels. Que du plaisir à Toonsville ! Critique : | Genre : cartoonissime. Le mélange d’animation et de personnages réels n’avait rien d’inédit (les frères Fleischer, déjà, en 1919…), mais il était porté, cette fois, à la perfection, dans un ouragan de gags et une tornade d’idées ravageuses. Dès le début, le lapin Roger Rabbit sort de l’écran et quitte le tournage d’un dessin animé (époustouflant) pour plonger dans une ténébreuse affaire. Derrière un privé alcoolique (Bob Hoskins), nous entrons alors au pays des toons, où vivent tous les héros de l’âge d’or du cartoon hollywoodien. La partie dessinée, par Richard Williams, maître de l’animation anglaise, est fantastique, avec ses guest stars désopilantes : Droopy en garçon d’ascenseur, Betty Boop en vendeuse de cigarettes dans un night-club, ou le canari Titi jouant avec les doigts du détective. On notera l’absence de Popeye : les prétentions financières de ses ayants droit étaient trop élevées !

Le rôle de la moto au cinéma

Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, diffusion du lundi 07 mai 2018 à 20h55

Hollywood, 1947. Roger Rabbit, vedette de dessins animés, soupçonne sa femme, la voluptueuse Jessica, de lui être infidèle. Un détective privé est engagé… Un canevas de film noir, une avalanche de gags et une osmose parfaite entre les toons et les acteurs réels. Que du plaisir à Toonsville ! Critique : | Genre : cartoonissimo. Le procédé (mélanger animation et personnages réels) n'a rien d'inédit (les frères Fleischer, déjà, en 1919...), mais il est porté ici à la perfection, dans un ouragan de gags et une tornade d'idées ravageuses. Dès le début, le lapin Roger Rabbit sort de l'écran et quitte le tournage d'un dessin animé (époustouflant) pour plonger dans une ténébreuse affaire. Derrière un privé alcoolique (Bob Hoskins), nous entrons alors au pays des toons, où vivent tous les héros de l'âge d'or du cartoon hollywoodien. Produit par Spielberg, le film est un brin tapageur. Mais la partie dessinée, par Richard Williams, maître de l'animation anglaise, est fantastique, avec ses guest stars désopilantes : Droopy en garçon d'ascenseur, Betty Boop en vendeuse de cigarettes dans un night-club, ou le canari Titi jouant avec les doigts du détective. On notera l'absence de Popeye : les prétentions financières de ses ayants droit étaient trop élevées ! — Bernard Génin