Diffusions passées:
Ô bout de l’inconnu, En Tanzanie, diffusion du dimanche 07 mai 2017 à 13h35
Les Maasaï forment l'une des tribus les plus grandes et les plus connues d'Afrique. Les hommes, polygames, peuvent avoir jusqu'à dix épouses différentes. Les femmes, elles, doivent se marier et avoir des enfants à partir de 14 ans. Les Maasaï pratiquent toujours l'excision, rasent leur crânes et scarifient leurs visages en signes de beauté. Dionne Breham s'invite chez eux pendant un mois. Cette coach de vie, ancien professeur de 33 ans est célibataire, et vit avec sa mère à Londres.
Ô bout de l’inconnu, Equateur, diffusion du dimanche 07 mai 2017 à 12h35
Karen, une Britannique de 46 ans, mère de famille et femme d'affaires accomplie, s'installe pendant un mois dans la jungle amazonienne. Elle est accueillie par les Indiens Waorani, un des peuples les plus isolés de la planète. Karen doit apprendre à chasser, à planter du manioc, à se laver dans une eau infestée de piranhas et participer à la construction de la cabane du chef de la tribu. Au grand étonnement de ses hôtes, elle s'habitue très bien à cette nouvelle vie. Très vite, les Waorani la surnomment Bopo, un mot qui signifie «arbre haut et fort», et décident de lui trouver un nouvel époux.
Ô bout de l’inconnu, En Tanzanie, diffusion du lundi 24 avril 2017 à 00h35
Ô bout de l’inconnu, Au Gabon, diffusion du lundi 17 avril 2017 à 02h35
Linda Plover vient de Liverpool et parcourt près de 6500 km pour se rendre dans la forêt tropicale africaine, où elle va partager le quotidien de la tribu des Babongo, au Gabon. Les Babongo vivent dans ces forêts depuis des millénaires. Leur survie dépend de ce qu'ils y trouvent et de ce qu'ils y cultivent.
Ô bout de l’inconnu, En Turquie, diffusion du lundi 17 avril 2017 à 01h40
Charlie, une jeune Anglaise à la vie mouvementée, va passer près d'un mois dans une famille de bergers nomades qui vit isolée sur un plateau montagneux de la Turquie. Les Yörüks sont arrivés d'Asie centrale au XIe siècle. Depuis, beaucoup se sont sédentarisés dans les villes. Il reste moins de cinquante familles nomades.
Ô bout de l’inconnu, En Ethiopie, diffusion du dimanche 16 avril 2017 à 13h40
Anna De Vere, 51 ans, a parcouru près de 6500 kilomètres pour atteindre un village isolé, au sud de l'Ethiopie. Anna va vivre dans le petit village de Minogelti-Doray. Ses 35 habitants vivent les uns à côté des autres, dans six huttes. Elle va passer un mois avec les Hamer, une tribu de bergers et d'éleveurs qui vit dans les plaines arides de la vallée de l'Omo. -- Critique : Série documentaire (3/12) de Helen Williamson (Grande-Bretagne, 2008). 52 mn. Inédit. Sur le papier, le concept n'est pas si éloigné de Rendez-vous en terre inconnue, l'émission de Frédéric Lopez sur France 2 : envoyer une femme à l'autre bout du monde, dans un village aux traditions ancestrales, et filmer les échanges avec les membres de la communauté. Ce soir, c'est Lana, une hôtesse de l'air écossaise de 28 ans, qui fait le voyage. Direction l'Ethiopie et la tribu des Afars, des bergers nomades et musulmans. Au gré des « activités » (traite des chèvres, ramassage du bois...), on fait la connaissance de Mohammed, qui accueille chez lui la jeune Occidentale, mais surtout des femmes du village, qui s'occupent de la quasi-totalité des tâches quotidiennes. L'occasion d'aborder la difficile condition féminine dans la culture afar... Le cours d'ethnologie s'arrêtera pourtant là : la star du doc, c'est Lana, pas les habitants du village. Que pense-t-elle de ses hôtes ? Que ressent-elle ? Pourquoi pleure-t-elle ? Qu'a-t-elle appris ? Avec son regard terriblement ethnocentré, le récit transforme le peuple éthiopien en exotique personnage secondaire, présent uniquement pour aider Lana, ex-alcoolique, à tourner la page de son douloureux passé. Exactement le contraire de ce que tente de faire Rendez-vous en terre inconnue.
