Diffusions passées:
Nom d’un chien, diffusion du vendredi 25 mai 2018 à 13h35
Père de famille quinquagénaire et mari fidèle, Hans Waldmann mène une vie sans histoires dans une petite ville du Sud de l'Allemagne. Quand il perd son emploi, personne ne semble se préoccuper de son sort. L'arrivée dans son foyer d'un chien errant suscite bien plus d'intérêt que son désarroi... Critique : | Genre : Quinqua en crise. Achat d’un cabriolet, perte d’autorité, incommunicabilité au sein du couple : ce troisième long de Sebastian Stern — inédit en France — dévide pas mal de clichés sur la crise de la cinquantaine. Un père de famille est incapable d’avouer son licenciement à sa femme, obnubilée par l’arrivée d’un chien à la maison. Le héros se révèle tout aussi impuissant pour faire partir de chez lui l’encombrant petit ami de sa fille. Ou, plus tard, pour chasser une espèce de double inversé de lui-même : un type sans inhibition, séducteur et jouisseur. Le réalisateur voudrait en faire une espèce de fantôme, un « spectateur de sa propre vie », mais le film ne bascule jamais dans l’irréalité. Un court métrage lui aurait suffi, tant il peine à développer son intrigue et mise tout sur un humour absurde convenu (voir la rigidité volontaire des comédiens). Se satisfaisant d’un dispositif en vase clos — la « famille » dysfonctionnelle n’est perturbée par aucune intervention extérieure —, Stern n’explore ni la piste fantastique (le gourou féru d’astrologie) ni la piste policière. Reste la performance de Georg Friedrich, retors en intrus mythomane.
Nom d’un chien, diffusion du vendredi 18 mai 2018 à 20h55
Père de famille quinquagénaire et mari fidèle, Hans Waldmann mène une vie sans histoires dans une petite ville du Sud de l'Allemagne. Quand il perd son emploi, personne ne semble se préoccuper de son sort. L'arrivée dans son foyer d'un chien errant suscite bien plus d'intérêt que son désarroi... Critique : Achat d’un cabriolet, perte d’autorité, incommunicabilité au sein du couple : cette comédie allemande dévide pas mal de clichés sur la crise de la cinquantaine. Sebastian Stern peine à développer son intrigue et mise tout sur un humour absurde convenu.