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Merveilleuse Angélique, diffusion du mardi 24 avril 2018 à 23h00
Notre Angélique, éprouvée par la mort de Joffrey, se console dans les bras de Nicolas à la cour des Miracles. Puis, elle ouvre une auberge... Amours passionnées, félonies, meurtres, un cocktail kitsch. Critique : Film français de Bernard Borderie (1964). Préc. dif. : juillet 89. Angélique : Michèle Mercier. Philippe de Plessis-Bellières : Claude Giraud. Desgrez : Jean Rochefort. Claude Le Petit : Jean-Louis Trintignant. Nicolas : Giuliano Gemma. Ninon de Lenclos : Claire Maurier. Louis XIV : Jacques Toja. Fiche technique. Scénario : Claude Brûlé, d'après un roman d'Anne et Serge Golon. Dialogues : Daniel Boulanger. Images : Henri Persin. Décors : René Moulaert. Montage : Christian Gaudin. Musique : Michel Magne. Critique parue dans Télérama 810. Durée annoncée : 105 mn. Le genre. Aventures historiques. L'histoire. Joffrey de Peyrac a été brûlé vif en place de Grève. Angélique se réfugie à la cour des Miracles, sous la protection de Nicolas, son amour de jeunesse. La rivalité des truands et la mort de Nicolas l'obligent à en sortir. Emprisonnée au Châtelet, elle manque d'être violée, s'évade, récupère ses deux enfants, devient aubergiste. Ce que j'en pense. Le film simplifie et schématise les quatre cents pages du roman, «Le chemin de Versailles», que je vous invite à lire, à «dévorer» comme les autres, si vous ne l'avez jamais fait. Ici, la reconstitution historique est une mascarade. Michèle Mercier illustre surtout une certaine obsession du cinéma français des années 60 : réinventer une star érotique, tenant à la fois de Martine Carol et de Brigitte Bardot. Il aurait mieux valu l'utiliser en comédienne. Jacques Siclier