Diffusions passées:

L’oncle Charles, diffusion du dimanche 18 mars 2018 à 21h00

Arnaque à l'héritage entre un riche expatrié (Eddy Mitchell) et une bande de franchouillards pas très doués. On a connu Etienne Chatiliez plus féroce et plus inspiré. Critique : Le tonton en question, c'est Eddy Mitchell, dans un de ces rôles qui n'existent que dans les comédies : le ronchon hirsute, avec un coeur gros comme ça, avec insultes et mauvaises manières. Cliché dont l'acteur-chanteur ne se dépêtre pas trop mal, entre deux plans panoramiques sur sa luxueuse demeure des antipodes. En effet, il est milliardaire, vit en Nouvelle-Zélande, mais fait rechercher sa famille d'origine en France. Là-bas, vers Plouc-sur-Quelque-Part, deux copines lui montent une arnaque. La fauchée (Alexandra Lamy) passera pour sa nièce. La rusée (irrésistible Valérie Bonneton) sera le cerveau de la combine. Les riches contre les pauvres, Etienne Chatiliez nous a souvent fait le coup. En mieux, en plus méchant. La petite bande d'arsouilles, augmentée d'un prof de gym à bandana, d'une fille mère lourdement maquillée et d'un ado gloussant ne fait pas illusion une seconde face à La vie est un long fleuve tranquille. Avec ses semi-Groseille, un pied dans la farce, l'autre dans la guimauve, Chatiliez se copie en moins bien...

L’oncle Charles, diffusion du dimanche 27 août 2017 à 21h00

En Nouvelle-Zélande, Charles Doumeng, un homme d'affaires fortuné, découvre qu'il souffre d'une maladie incurable. Au seuil de la mort, il repense à sa soeur, installée dans l'Ouest de la France, qu'il n'a pas revue depuis cinquante ans. Le sexagénaire décide de la rechercher. Corinne, clerc de notaire, découvre l'annonce, et surtout la récompense offerte. Comme elle a besoin d'argent, elle décide, aidée de son entourage, de fabriquer une famille à Charles. La supercherie fonctionne, mais Corinne n'imagine pas que Charles a été victime d'une erreur de diagnostic. En pleine santé, il débarque en France rencontrer sa famille... -- Critique : Arnaque à l'héritage entre un riche expatrié (Eddy Mitchell) et une bande de franchouillards pas très doués. On a connu Etienne Chatiliez plus féroce et plus inspiré.