Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Les randonneurs, diffusion du mardi 11 septembre 2018 à 21h00

Cinq copains se lancent dans une randonnée en Corse qui dégénère... Le scénario n'est pas toujours très fin, mais le film se laisse revoir, comme on relit d'un œil une vieille BD. Le charme de Karin Viard, adorable râleuse, et de Poelvoorde, sûr de lui exaspérant, opère toujours. Critique : | Genre : 10 kilomètres à pied, ça use... Et si cette peinture drolatique d'une poignée de bobos égarés sur un chemin de randonnée corse, était le meilleur film de Philippe Harel, la version « riche » et aboutie de son premier essai, Un été sans histoires ? L'interprétation est somptueuse, de Karin Viard, impec au bord de la crise de nerfs, à Géraldine Pailhas, qui donne envie de frapper le malotru qui la délaisse. Le malotru en question n'est autre que Benoît Poelvoorde, qui étrennait ici son rôle de beauf hyper directif. La leçon de marche à pied qu'il offre à une assistance diversement attentive est un grand moment. Les Bronzés version fin de xxe siècle ? Avec une amertume plus marquée, le regret d'avoir des vies moins belles qu'on ne les avait rêvées... — Aurélien Ferenczi

Le rôle de la moto au cinéma

Les randonneurs, diffusion du lundi 24 juillet 2017 à 20h55

Cinq amis, trois garçons et deux filles, ont décidé, pour les vacances, d'aller randonner en Corse, sur le célèbre GR20. Il y a là Mathieu, qui espérait retrouver Bernadette, laquelle n'est pas venue, Louis, qui fuit une liaison orageuse, Eric, un homme marié qui s'autorise des escapades lors des randonnées qu'il organise, Nadine, amoureuse d'Eric qui la dédaigne, et Cora, qui rêve de rencontrer le grand amour et saisit toutes les occasions de fuir sa solitude. Le périple débute. Les paysages sont somptueux mais le chemin difficile. Peu à peu, au contact les uns des autres, les cinq randonneurs révèlent des facettes bien dissimulées de leur personnalité... -- Critique : Cinq copains se lancent dans une randonnée en Corse qui dégénère... Une comédie fine qui se laisse revoir, comme on relit une vieille BD. Le charme de Karin Viard, adorable râleuse, et de Poelvoorde, sûr de lui, exaspérant, opère toujours.