Diffusions passées:
Les mariés de l’an II, diffusion du dimanche 07 octobre 2018 à 09h30
Un tourbillon jubilatoire pour Bébel et Marlène Jobert. Et, pour Rappeneau, un début de carrière sur les chapeaux de roue. Critique : | Genre : comédie historique. Aux Amériques, en 1793. Nicolas Philibert est sur le point d’épouser une riche héritière, quand surgit un rival annonçant qu’il est déjà marié. Nicolas s’embarque alors pour la France afin de retrouver Charlotte, l’encombrante épouse, divorcer et repartir. Il arrive à Nantes en pleine Terreur… Il fallut près de cinq ans à Jean-Paul Rappeneau pour tourner cette trépidante farandole, entre guillotines et chouannerie. Cinq ans pour mitonner des dialogues malins, des situations cocasses, amoureusement embrouillées et débrouillées par les soins d’un prestigieux trio de scénaristes (Rappeneau, Sautet, Clavel). Fringants meneurs, Jobert et Belmondo font merveille : elle, boucles folles et tête de bois, ressuscite avec énergie les grandes héroïnes de comédie. Lui joue avec brio les petits cousins gouailleurs de Figaro. Comme dans La Vie de château (1966), précédente comédie de Rappeneau qui se déroulait sous l’Occupation, on revisite l’Histoire au pas de course, dans un allègre tourbillon.
Les mariés de l’an II, diffusion du mercredi 12 septembre 2018 à 13h35
Un tourbillon jubilatoire pour Bébel et Marlène Jobert. Et, pour Rappeneau, un début de carrière sur les chapeaux de roue. Critique : | Genre : comédie historique. Aux Amériques, en 1793. Nicolas Philibert est sur le point d'épouser une riche héritière, quand surgit un rival annonçant qu'il est déjà marié. Nicolas s'embarque alors pour la France afin de retrouver Charlotte, l'encombrante épouse, divorcer et repartir. Il arrive à Nantes en pleine Terreur... Il fallut près de cinq ans à Jean-Paul Rappeneau pour tourner cette trépidante farandole, entre guillotines et chouannerie. Cinq ans pour mitonner des dialogues malins, des situations cocasses, amoureusement embrouillées et débrouillées par les soins d'un prestigieux trio de scénaristes (Rappeneau, Sautet, Clavel). Fringants meneurs, Jobert et Belmondo font merveille : elle, boucles folles et tête de bois, ressuscite avec énergie les grandes héroïnes de comédie. Lui joue avec brio les petits cousins gouailleurs de Figaro. Comme dans La Vie de château (1966), précédente comédie de Rappeneau qui se déroulait sous l'Occupation, on revisite l'histoire au pas de course, dans un allègre tourbillon. — Cécile Mury
