Diffusions passées:

Le prix de la liberté, Sarah et moi, diffusion du samedi 26 mai 2018 à 14h10

Episode : 4 - Mini-Mini a suivi Misi Sarah et lui a été fidèle en toutes circonstances. Reinder, le père biologique de Jethro meurt à «Petit Paradis». C'est de cette manière que Julius Robles apprend que Jethro n'est pas son fils... Critique : Suriname, fin du xviiie siècle. Dans les plantations de canne à sucre de cette colonie néerlandaise d'Amérique du Sud vivent deux demi-soeurs. Sarah, la fille blanche, et Mini-Mini, l'enfant esclave illégitime. Pleines d'espoir, elles rêvent d'évasion, chacune à sa manière : Sarah veut découvrir le monde en faisant un bon mariage, Mini-Mini attend le retour de son petit ami, César, qui a lui promis d'acheter sa liberté. Pour les deux jeunes femmes, rien ne va se passer comme prévu... L'enfer des séries, lui aussi, est parfois pavé de bonnes intentions. Celles de cette transposition télévisuelle du premier film néerlandais sur l'esclavage au Suriname, lui-même tiré d'un roman, sont nombreuses et louables a priori. Malheureusement, l'académisme rance de son traitement historique, associé à une mélasse sentimentale d'un autre âge, font de ce Prix de la liberté une oeuvre au rabais pour le moins déconcertante. Faire coïncider les horreurs de l'esclavage avec le marivaudage du soap est une entreprise délicate et périlleuse. Imaginez 12 Years a Slave version Santa Barbara... Pas aidée par une VF qui en rajoute une couche dans la tonalité naïve et caricaturale de l'ensemble, cette fresque ambitieuse voulait s'approcher d'Autant en emporte le vent, alors qu'elle n'a même pas le souffle romanesque de Nord et Sud, saga pourtant très indigeste des années 1980, avec Patrick Swayze. — Sébastien Mauge

Le prix de la liberté, Sarah et César, diffusion du samedi 26 mai 2018 à 13h25

Episode : 3 - Elza acccouche d'un garçon. Sarah enrage et se venge sur Ashana, une vieille esclave qui a élevé Elza. Ashana sera fouettée à mort. Lorque Masra Levi, le beau-père de Sarah apprend l'horrible nouvelle, il ne veut plus de Sarah sous son toit. Elle part vivre à Paramaribo suivie de sa fidèle Mini-Mini. Elle se rend à toutes les fêtes, car se marier est devenu une urgence... Critique : Suriname, fin du xviiie siècle. Dans les plantations de canne à sucre de cette colonie néerlandaise d'Amérique du Sud vivent deux demi-soeurs. Sarah, la fille blanche, et Mini-Mini, l'enfant esclave illégitime. Pleines d'espoir, elles rêvent d'évasion, chacune à sa manière : Sarah veut découvrir le monde en faisant un bon mariage, Mini-Mini attend le retour de son petit ami, César, qui a lui promis d'acheter sa liberté. Pour les deux jeunes femmes, rien ne va se passer comme prévu... L'enfer des séries, lui aussi, est parfois pavé de bonnes intentions. Celles de cette transposition télévisuelle du premier film néerlandais sur l'esclavage au Suriname, lui-même tiré d'un roman, sont nombreuses et louables a priori. Malheureusement, l'académisme rance de son traitement historique, associé à une mélasse sentimentale d'un autre âge, font de ce Prix de la liberté une oeuvre au rabais pour le moins déconcertante. Faire coïncider les horreurs de l'esclavage avec le marivaudage du soap est une entreprise délicate et périlleuse. Imaginez 12 Years a Slave version Santa Barbara... Pas aidée par une VF qui en rajoute une couche dans la tonalité naïve et caricaturale de l'ensemble, cette fresque ambitieuse voulait s'approcher d'Autant en emporte le vent, alors qu'elle n'a même pas le souffle romanesque de Nord et Sud, saga pourtant très indigeste des années 1980, avec Patrick Swayze. — Sébastien Mauge

Le prix de la liberté, Sarah et Rutger, diffusion du samedi 19 mai 2018 à 14h25

Episode : 2 - Rutger arive à Paramaribo cinq mois avant son mariage avec Elza. Il découvre la ville, les colons, l'esclavagisme, et il fait la connaissance d'Alex qui lui est offert comme esclave personnel. Les deux hommes vont apprendre à se connaitre et se respecter. Rutger rencontrer Elza et demander sa main, mais il est troublé par la jolie Sarah... Critique : Suriname, fin du xviiie siècle. Dans les plantations de canne à sucre de cette colonie néerlandaise d'Amérique du Sud vivent deux demi-soeurs. Sarah, la fille blanche, et Mini-Mini, l'enfant esclave illégitime. Pleines d'espoir, elles rêvent d'évasion, chacune à sa manière : Sarah veut découvrir le monde en faisant un bon mariage, Mini-Mini attend le retour de son petit ami, César, qui a lui promis d'acheter sa liberté. Pour les deux jeunes femmes, rien ne va se passer comme prévu... L'enfer des séries, lui aussi, est parfois pavé de bonnes intentions. Celles de cette transposition télévisuelle du premier film néerlandais sur l'esclavage au Suriname, lui-même tiré d'un roman, sont nombreuses et louables a priori. Malheureusement, l'académisme rance de son traitement historique, associé à une mélasse sentimentale d'un autre âge, font de ce Prix de la liberté une oeuvre au rabais pour le moins déconcertante. Faire coïncider les horreurs de l'esclavage avec le marivaudage du soap est une entreprise délicate et périlleuse. Imaginez 12 Years a Slave version Santa Barbara... Pas aidée par une VF qui en rajoute une couche dans la tonalité naïve et caricaturale de l'ensemble, cette fresque ambitieuse voulait s'approcher d'Autant en emporte le vent, alors qu'elle n'a même pas le souffle romanesque de Nord et Sud, saga pourtant très indigeste des années 1980, avec Patrick Swayze. — Sébastien Mauge

Le prix de la liberté, Sarah et Nathan, diffusion du samedi 19 mai 2018 à 13h40

Episode : 1 - Demi-soeurs élevées ensemble sur une plantation de canne à sucre, Sarah, la fille légitime blanche, et Mini-Mini, l'enfant d'esclave, vivent des vies étroitement liées. Tandis que la ravissante Sarah songe à faire un bon mariage qui l'éloignera définitivement des terres familiales, Mini-Mini, de son côté, n'ose rien espérer de la vie misérable qu'elle mène. Certes, César, son amoureux, lui a bien promis de revenir pour acheter sa liberté, mais, en attendant, la jolie métisse ne peut que subir l'humeur changeante et souvent maussade de sa maîtresse… Critique : Suriname, fin du xviiie siècle. Dans les plantations de canne à sucre de cette colonie néerlandaise d'Amérique du Sud vivent deux demi-soeurs. Sarah, la fille blanche, et Mini-Mini, l'enfant esclave illégitime. Pleines d'espoir, elles rêvent d'évasion, chacune à sa manière : Sarah veut découvrir le monde en faisant un bon mariage, Mini-Mini attend le retour de son petit ami, César, qui a lui promis d'acheter sa liberté. Pour les deux jeunes femmes, rien ne va se passer comme prévu... L'enfer des séries, lui aussi, est parfois pavé de bonnes intentions. Celles de cette transposition télévisuelle du premier film néerlandais sur l'esclavage au Suriname, lui-même tiré d'un roman, sont nombreuses et louables a priori. Malheureusement, l'académisme rance de son traitement historique, associé à une mélasse sentimentale d'un autre âge, font de ce Prix de la liberté une oeuvre au rabais pour le moins déconcertante. Faire coïncider les horreurs de l'esclavage avec le marivaudage du soap est une entreprise délicate et périlleuse. Imaginez 12 Years a Slave version Santa Barbara... Pas aidée par une VF qui en rajoute une couche dans la tonalité naïve et caricaturale de l'ensemble, cette fresque ambitieuse voulait s'approcher d'Autant en emporte le vent, alors qu'elle n'a même pas le souffle romanesque de Nord et Sud, saga pourtant très indigeste des années 1980, avec Patrick Swayze. — Sébastien Mauge

Le prix de la liberté, Sarah et moi, diffusion du samedi 05 mai 2018 à 23h10

Le prix de la liberté, Sarah et César, diffusion du samedi 05 mai 2018 à 22h30

Le prix de la liberté, Sarah et Rutger, diffusion du samedi 05 mai 2018 à 21h40

Le prix de la liberté, Sarah et Nathan, diffusion du samedi 05 mai 2018 à 20h55

Le prix de la liberté, Sarah et moi, diffusion du vendredi 28 juillet 2017 à 00h45

Episode : 4/4 - Mini-Mini a suivi Misi Sarah et lui a été fidèle en toutes circonstances. Reinder, le père biologique de Jethro meurt à «Petit Paradis». C'est de cette manière que Julius Robles apprend que Jethro n'est pas son fils... -- Critique : Suriname, fin du xviiie siècle. Dans les plantations de canne à sucre de cette colonie néerlandaise d'Amérique du Sud vivent deux demi-soeurs. Sarah, la fille blanche, et Mini-Mini, l'enfant esclave illégitime. Pleines d'espoir, elles rêvent d'évasion, chacune à sa manière : Sarah veut découvrir le monde en faisant un bon mariage, Mini-Mini attend le retour de son petit ami, César, qui a lui promis d'acheter sa liberté. Pour les deux jeunes femmes, rien ne va se passer comme prévu... L'enfer des séries, lui aussi, est parfois pavé de bonnes intentions. Celles de cette transposition télévisuelle du premier film néerlandais sur l'esclavage au Suriname, lui-même tiré d'un roman, sont nombreuses et louables a priori. Malheureusement, l'académisme rance de son traitement historique, associé à une mélasse sentimentale d'un autre âge, font de ce Prix de la liberté une oeuvre au rabais pour le moins déconcertante. Faire coïncider les horreurs de l'esclavage avec le marivaudage du soap est une entreprise délicate et périlleuse. Imaginez 12 Years a Slave version Santa Barbara... Pas aidée par une VF qui en rajoute une couche dans la tonalité naïve et caricaturale de l'ensemble, cette fresque ambitieuse voulait s'approcher d'Autant en emporte le vent, alors qu'elle n'a même pas le souffle romanesque de Nord et Sud, saga pourtant très indigeste des années 1980, avec Patrick Swayze. — Sébastien Mauge

Le prix de la liberté, Sarah et César, diffusion du vendredi 28 juillet 2017 à 00h00

Episode : 3/4 - Elza acccouche d'un garçon. Sarah enrage et se venge sur Ashana, une vieille esclave qui a élevé Elza. Ashana sera fouettée à mort. Lorque Masra Levi, le beau-père de Sarah apprend l'horrible nouvelle, il ne veut plus de Sarah sous son toit. Elle part vivre à Paramaribo suivie de sa fidèle Mini-Mini. Elle se rend à toutes les fêtes, car se marier est devenu une urgence... -- Critique : Suriname, fin du xviiie siècle. Dans les plantations de canne à sucre de cette colonie néerlandaise d'Amérique du Sud vivent deux demi-soeurs. Sarah, la fille blanche, et Mini-Mini, l'enfant esclave illégitime. Pleines d'espoir, elles rêvent d'évasion, chacune à sa manière : Sarah veut découvrir le monde en faisant un bon mariage, Mini-Mini attend le retour de son petit ami, César, qui a lui promis d'acheter sa liberté. Pour les deux jeunes femmes, rien ne va se passer comme prévu... L'enfer des séries, lui aussi, est parfois pavé de bonnes intentions. Celles de cette transposition télévisuelle du premier film néerlandais sur l'esclavage au Suriname, lui-même tiré d'un roman, sont nombreuses et louables a priori. Malheureusement, l'académisme rance de son traitement historique, associé à une mélasse sentimentale d'un autre âge, font de ce Prix de la liberté une oeuvre au rabais pour le moins déconcertante. Faire coïncider les horreurs de l'esclavage avec le marivaudage du soap est une entreprise délicate et périlleuse. Imaginez 12 Years a Slave version Santa Barbara... Pas aidée par une VF qui en rajoute une couche dans la tonalité naïve et caricaturale de l'ensemble, cette fresque ambitieuse voulait s'approcher d'Autant en emporte le vent, alors qu'elle n'a même pas le souffle romanesque de Nord et Sud, saga pourtant très indigeste des années 1980, avec Patrick Swayze. — Sébastien Mauge