Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Le mystère Enfield, Episode 3, diffusion du vendredi 28 décembre 2018 à 02h10

Saison : 1 - Episode : 3 - Le président de la SRP, le professeur Beloff, a décidé de s'occuper du cas Enfield lui-même, congédiant Grosse et Playfair. Pour se débarrasser de lui, Margaret et Janet déclarent à la presse qu'elles ont tout inventé. Playfair tente de délivrer la petite fille de ses visions horrifiques au cours d'une expérience de désenvoûtement. Janet s'adresse à Maurice Grosse avec la voix de sa fille disparue… Critique : 1977. Mais que diable se passe-t-il dans cette petite maison du nord de Londres dans laquelle vivent une mère et ses trois enfants ? Des coups retentissent, les meubles bougent et la petite Janet se retrouve collée au plafond par une force surnaturelle. La presse s'emballe. Spécialiste du paranormal, Maurice Grosse mène l'enquête, assisté d'un journaliste sceptique, Guy Playfair. Cette mini-série de 2015 a devancé le récent retour en grâce des démons à la télévision (Outcast, Preacher, L'Exorciste) et au cinéma (The Conjuring 2 : le cas Enfield... tiens, tiens). Kristoffer Nyholm (The Killing, version danoise) adapte ce fait divers célèbre avec élégance, sobriété et un réalisme cru très détaillé, de la tapisserie glauque des seventies aux manifestations de l'esprit frappeur, d'un minimalisme effrayant. On a rarement eu autant peur devant le petit écran. La jeune Eleanor Worthington-Cox, héritière de la Linda Blair de L'Exorciste, est stupéfiante. La souffrance de son personnage symbolise un sous-texte profond : la fin de l'innocence et la cruauté de l'adolescence, véritables mystères de cette histoire. — Sébastien Mauge

Le rôle de la moto au cinéma

Le mystère Enfield, Episode 2, diffusion du vendredi 28 décembre 2018 à 01h25

Saison : 1 - Episode : 2 - Janet a subi une attaque. Playfair et Grosse, désormais alliés, décident de la mettre à l'abri chez un voisin. Grosse fait venir une médium pour entrer en communication avec l'esprit frappeur. Peu après, Janet se met à parler avec la voix d'un vieil homme, qui dit s'appeler Joe. Grosse découvre alors qu'un certain Joe Watson est mort dans la maison... Critique : 1977. Mais que diable se passe-t-il dans cette petite maison du nord de Londres dans laquelle vivent une mère et ses trois enfants ? Des coups retentissent, les meubles bougent et la petite Janet se retrouve collée au plafond par une force surnaturelle. La presse s'emballe. Spécialiste du paranormal, Maurice Grosse mène l'enquête, assisté d'un journaliste sceptique, Guy Playfair. Cette mini-série de 2015 a devancé le récent retour en grâce des démons à la télévision (Outcast, Preacher, L'Exorciste) et au cinéma (The Conjuring 2 : le cas Enfield... tiens, tiens). Kristoffer Nyholm (The Killing, version danoise) adapte ce fait divers célèbre avec élégance, sobriété et un réalisme cru très détaillé, de la tapisserie glauque des seventies aux manifestations de l'esprit frappeur, d'un minimalisme effrayant. On a rarement eu autant peur devant le petit écran. La jeune Eleanor Worthington-Cox, héritière de la Linda Blair de L'Exorciste, est stupéfiante. La souffrance de son personnage symbolise un sous-texte profond : la fin de l'innocence et la cruauté de l'adolescence, véritables mystères de cette histoire. — Sébastien Mauge

Le rôle de la moto au cinéma

Le mystère Enfield, Episode 1, diffusion du vendredi 28 décembre 2018 à 00h40

Saison : 1 - Episode : 1 - Automne 1977, à Enfield, dans la grande banlieue de Londres. Dans leur chambre, Janet Hodgson, 11 ans, et Margaret, 13 ans, se racontent des histoires à faire peur quand des coups violents retentissent dans l'armoire. Puis la commode se met à bouger. Après une série d'autres événements du même type, la police puis la presse tabloïd accréditent la thèse d'un poltergeist. Maurice Grosse, de la Société de recherche psychique (SRP), s'installe dans ce foyer pauvre et sans père pour tenter d'élucider le mystère. Secrètement brisé par la mort accidentelle de sa fille Janet un an auparavant, il établit un lien particulier avec la cadette des filles Hodgson, visée par les manifestations paranormales. Mais la SRP dépêche chez les Hodgson un de ses «experts», le journaliste Guy Playfair, qui se montre sceptique... Critique : 1977. Mais que diable se passe-t-il dans cette petite maison du nord de Londres dans laquelle vivent une mère et ses trois enfants ? Des coups retentissent, les meubles bougent et la petite Janet se retrouve collée au plafond par une force surnaturelle. La presse s'emballe. Spécialiste du paranormal, Maurice Grosse mène l'enquête, assisté d'un journaliste sceptique, Guy Playfair. Cette mini-série de 2015 a devancé le récent retour en grâce des démons à la télévision (Outcast, Preacher, L'Exorciste) et au cinéma (The Conjuring 2 : le cas Enfield... tiens, tiens). Kristoffer Nyholm (The Killing, version danoise) adapte ce fait divers célèbre avec élégance, sobriété et un réalisme cru très détaillé, de la tapisserie glauque des seventies aux manifestations de l'esprit frappeur, d'un minimalisme effrayant. On a rarement eu autant peur devant le petit écran. La jeune Eleanor Worthington-Cox, héritière de la Linda Blair de L'Exorciste, est stupéfiante. La souffrance de son personnage symbolise un sous-texte profond : la fin de l'innocence et la cruauté de l'adolescence, véritables mystères de cette histoire. — Sébastien Mauge