Diffusions passées:
Le monde de Dory, diffusion du mercredi 17 octobre 2018 à 08h18
Treize ans après Le Monde de Nemo, le studio Pixar replonge dans l'océan avec les mêmes poissons attachants et drôles. Mention spéciale à l'adorable héroïne amnésique en quête de mémoire. Critique : | Genre : adorable amnésique. Tout le monde se souvient de Dory, le personnage le plus rigolo du Monde de Nemo, le Pixar océanique de 2003. Tout le monde… sauf elle. Cet aimable et enthousiaste petit poisson bleu et jaune souffre, en effet, d’un trouble sévère de la mémoire immédiate. Source inépuisable de gags dans le premier film, cette bizarrerie devient le centre d’une étonnante fable sur le handicap et les moyens de vivre avec. Dory l’étourdie n’est pas la seule concernée : on a droit à un béluga atteint de blocage psychosomatique, à une baleine malvoyante et à un oiseau de mer vaguement déficient. Toujours drôles et visuellement réjouissantes, les retrouvailles avec la petite bande de Nemo, son père et tout un banc de bestioles bigarrées (mention spéciale à la pieuvre-caméléon), s’enrichissent d’une belle dose d’émotion. Quand elle était toute petite, Dory a perdu ses parents, qui l’élevaient dans un tendre respect de sa différence. Le film la suit dans une quête trépidante pour les retrouver, au bout de l’océan et des souvenirs qui affleurent par bribes. L’occasion d’aborder, mine de rien et en douceur, la notion de solidarité et d’acceptation.
Le Monde de Dory, diffusion du dimanche 09 septembre 2018 à 08h30
Le Monde de Dory, diffusion du mercredi 11 juillet 2018 à 15h10
Le Monde de Dory, diffusion du vendredi 06 juillet 2018 à 21h00
Le monde de Dory, diffusion du dimanche 20 mai 2018 à 07h55
Treize ans après Le Monde de Nemo, le studio Pixar replonge dans l'océan avec les mêmes poissons attachants et drôles. Mention spéciale à l'adorable héroïne amnésique en quête de mémoire. Critique : | Genre : adorable amnésique. Tout le monde se souvient de Dory, le personnage le plus rigolo du Monde de Nemo, le Pixar océanique de 2003. Tout le monde… sauf elle. Cet aimable et enthousiaste petit poisson bleu et jaune souffre, en effet, d’un trouble sévère de la mémoire immédiate. Source inépuisable de gags dans le premier film, cette bizarrerie devient le centre d’une étonnante fable sur le handicap et les moyens de vivre avec. Dory l’étourdie n’est pas la seule concernée : on a droit à un béluga atteint de blocage psychosomatique, à une baleine malvoyante et à un oiseau de mer vaguement déficient. Toujours drôles et visuellement réjouissantes, les retrouvailles avec la petite bande de Nemo, son père et tout un banc de bestioles bigarrées (mention spéciale à la pieuvre-caméléon), s’enrichissent d’une belle dose d’émotion. Quand elle était toute petite, Dory a perdu ses parents, qui l’élevaient dans un tendre respect de sa différence. Le film la suit dans une quête trépidante pour les retrouver, au bout de l’océan et des souvenirs qui affleurent par bribes. L’occasion d’aborder, mine de rien et en douceur, la notion de solidarité et d’acceptation.