Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Le masque de Zorro, diffusion du dimanche 14 avril 2019 à 21h00

Don Diego de la Vega n'a plus l'âge de jouer à Zorro. Il passe l'épée à un bandit de grand chemin sexy comme tout. La fille de Don Diego n'est pas mal non plus... Ce nouveau Zorro fut une sacrée bonne surprise, intelligente, rythmée, glamour à souhait. 20/20 au casting. Critique : Au début, on a des craintes : le costume du renard-rusé-qui-fait-sa-loi est endossé par le vénérable Anthony Hopkins. Mais cela ne dure que le temps de quelques séquences d’exposition destinées à rafraîchir les mémoires et à nouer ce qui sera dénoué par la suite (l’ignoble gouverneur Montero démasque Zorro, alias don Diego, tue sa femme, enlève sa fille et le jette au cachot). Les scénaristes ont réservé au héros de notre enfance un sort à la Monte-Cristo : vingt ans après, un don Diego exsangue et très pileux s’évade de sa geôle. Il va se venger, c’est sûr, mais comment ? Au soulagement général, Anthony Hopkins renonce à jouer les Douglas Fairbanks carte Vermeil et passe la main à Antonio Banderas. On y gagne en prestance, en fougue et en humour. Car ce Zorro fait tout ce qu’un Zorro doit faire : il se pend au lustre, envoie dinguer les soldats comme des quilles, joue du fouet, chevauche Tornado et se rit du sergent Garcia. Autant de passages obligés négociés avec aisance. Duels et complots, cascades équestres et mondanités à l’hacienda se succèdent sans temps mort. La belle Elena (Catherine Zeta-Jones) est bellissime, et tout finira comme prévu.

Le rôle de la moto au cinéma

Le masque de Zorro, diffusion du dimanche 17 février 2019 à 22h50

Don Diego de la Vega n'a plus l'âge de jouer à Zorro. Il passe l'épée à un bandit de grand chemin sexy comme tout. La fille de Don Diego n'est pas mal non plus... Ce nouveau Zorro fut une sacrée bonne surprise, intelligente, rythmée, glamour à souhait. 20/20 au casting. Critique : | Genre : aventures masquées. Au début, on a des craintes : le costume du renard-rusé-qui-fait-sa-loi est endossé par le vénérable Anthony Hopkins. Mais cela ne dure que le temps de quelques séquences d'exposition destinées à rafraîchir les mémoires et à nouer ce qui sera dénoué par la suite (l'ignoble gouverneur Montero démasque Zorro, alias don Diego, tue sa femme, enlève sa fille et le jette au cachot). Les scénaristes ont réservé au héros de notre enfance un sort à la Monte-Cristo : vingt ans après, un don Diego exsangue et très pileux s'évade de sa geôle... et refait surface. Il va se venger, c'est sûr, mais comment ? Au soulagement général, Anthony Hopkins renonce à jouer les Douglas Fairbanks carte Vermeil et passe la main à Antonio Banderas. On y gagne en prestance, en fougue et en humour. Car ce Zorro fait tout ce qu'un Zorro doit faire : il se pend au lustre, envoie dinguer les soldats comme des quilles, joue du fouet, chevauche Tornado et se rit du sergent Garcia. Autant de passages obligés négociés avec aisance. Duels et complots, cascades équestres et mondanités à l'hacienda se succèdent sans temps mort. La belle Elena (Catherine Zeta-Jones) est bellissime, et tout finira comme prévu. — François Gorinocetu

Le rôle de la moto au cinéma

Le masque de Zorro, diffusion du mardi 03 avril 2018 à 21h00

Don Diego de la Vega n'a plus l'âge de jouer à Zorro. Il passe l'épée à un bandit de grand chemin sexy comme tout. La fille de Don Diego n'est pas mal non plus... Ce nouveau Zorro fut une sacrée bonne surprise, intelligente, rythmée, glamour à souhait. 20/20 au casting. Critique : Film de Martin Campbell (The Mask of Zorro, USA, 1998). Scénario : John Eskow, Ted Elliott et Terry Rossio. 140 mn. VF. Avec Antonio Banderas, Anthony Hopkins, Catherine Zeta-Jones, Stuart Wilson. Genre : aventures masquées. Au début, on a des craintes : le costume du renard-rusé-qui-fait-sa-loi est endossé par le vénérable Anthony Hopkins. Mais cela ne dure que le temps de quelques séquences d'exposition destinées à rafraîchir les mémoires et à nouer ce qui sera dénoué par la suite (l'ignoble gouverneur Montero démasque Zorro, alias don Diego, tue sa femme, enlève sa fille et le jette au cachot). Les scénaristes ont réservé au héros de notre enfance un sort « à la Monte-Cristo » : vingt ans après, un don Diego exsangue et très pileux s'évade de sa geôle... et refait surface. Il va se venger, c'est sûr, mais comment ? Au soulagement général, Anthony Hopkins renonce à jouer les Douglas Fairbanks carte Vermeil, et passe la main à Antonio Banderas. On y gagne en prestance, en fougue et en humour. Car ce Zorro fait tout ce qu'un Zorro doit faire : il se pend au lustre, envoie dinguer les soldats comme des quilles, joue du fouet, chevauche Tornado et se rit du sergent Garcia. Autant de passages obligés négociés avec aisance. Duels et complots, cascades équestres et mondanités à l'hacienda se succèdent sans temps mort. La belle Elena (Catherine Zeta-Jones) est bellissime, et tout finira comme prévu. François Gorin

Le rôle de la moto au cinéma

Le masque de Zorro, diffusion du mercredi 27 décembre 2017 à 13h55