Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Le goût des merveilles, diffusion du dimanche 03 mars 2019 à 23h10

Un homme atteint du syndrome d’Asperger rencontre une arboricultrice. Comédie romantique médiocre, qui énumère paresseusement les facultés des autistes. Critique : | Genre : Autisme pour les nuls. Génie du calcul mental, joueur d'échecs hors pair, hacker : tel est l'autiste selon Eric Besnard. L'auteur de Ca$h imagine un jeune homme atteint du syndrome d'Asperger, qui, sous le soleil de la Drôme provençale, a le coup de foudre pour une arboricultrice. A l'exception d'une ou deux scènes de panique aux bruits amplifiés, où la réali­sation épouse le point de vue du héros, le film se contente de dresser un catalogue (largement fantasmé) des facultés des autistes, sans jamais en exploiter aucune. Il montre un personnage omnipotent, une sorte d'ange panthéiste et new age, plus proche de « l'Extraterrestre » de Didier Bourdon que du « Starman » de Carpenter. Un sauveur libéré du mensonge, prétexte à quel­ques scènes moralisatrices... « Rain Man », lui, savait au moins révéler la part de folie du monde. — Nicolas Didier

Le rôle de la moto au cinéma

Le goût des merveilles, diffusion du jeudi 16 août 2018 à 21h00

Le rôle de la moto au cinéma

Le goût des merveilles, diffusion du vendredi 12 mai 2017 à 08h25

Depuis la mort de son mari, Louise élève seule ses deux enfants adolescents, Emma et Félix, en pleine Drôme provençale. Elle a hérité de l'exploitation agricole de son époux, des hectares de poiriers qu'elle gère avec difficulté, et doit parfois faire face à l'hostilité des gens. Un soir, sur la route, elle renverse un homme, Pierre. Elle décide de le ramener chez elle pour le soigner. Mais l'inconnu a un comportement singulier, avec notamment une capacité d'émerveillement qui étonne Louise. Tous deux enfermés dans ce qui ressemble à une bulle, ils apprennent à s'apprivoiser. Peu à peu, au contact de Pierre, Louise reprend goût à la vie... -- Critique : Le coup de foudre d'un jeune homme atteint du syndrome d'Asperger pour une arboricultrice (Virginie Efira). Une comédie romantique médiocre, où le cinéaste énumère paresseusement les facultés des autistes sans en exploiter aucune.