Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Le dernier rempart, diffusion du lundi 04 février 2019 à 23h10

Schwarzenegger de retour en haut de l'affiche, dans le rôle d'un shérif d'aujourd'hui, forcément increvable... Formule pantouflarde heureusement un peu tonifiée par l'esprit foufou d'un réalisateur coréen qui pousse ce film d'action vers l'humour et l'exagération. Comme dans une bonne série B. Critique : | Genre : Schwarzenegger, Le retour. Un baron de la drogue filant droit vers le Mexique traverse une paisible bourgade gardée par un shérif qui l’est moins… Explosions au milieu des champs de blé et démonstrations de force : Schwarzenegger tentait un retour en grâce. L’acteur n’a jamais été spécialement porté sur l’inventivité, et on lui en veut à peine de ne pas se renouveler. Face à cette présence massive, il revient au réalisateur coréen Kim Jee-woon de chercher un peu de souplesse, un peu de nouveauté. Caméléon, son film verse tantôt dans l’action musclée, tantôt dans la course de bolides à la Fast and furious, mais aussi dans le western décalé et la comédie… C’est plaisant, mais on peut regretter que la folie dont le cinéaste est capable reste, cette fois, mesurée. Le shérif Schwar­zenegger veillait sans doute au grain.

Le rôle de la moto au cinéma

Le dernier rempart, diffusion du lundi 28 janvier 2019 à 21h00

Le rôle de la moto au cinéma

Le dernier rempart, diffusion du jeudi 18 janvier 2018 à 21h00

Schwarzenegger de retour en haut de l'affiche, dans le rôle d'un shérif d'aujourd'hui, forcément increvable... Formule pantouflarde heureusement un peu tonifiée par l'esprit foufou d'un réalisateur coréen qui pousse ce film d'action vers l'humour et l'exagération. Comme dans une bonne série B. Critique : Le retour d'Arnold Schwarzenegger dans le rôle d'un shérif forcément increvable... Cette formule assez pantouflarde est le signe que l'ex-gouverneur de Californie prend très au sérieux ce nouveau volet de sa carrière hollywoodienne. Et qu'il entend garder le copyright de ses personnages de justiciers musclés. Arnold n'a jamais été spécialement porté sur la diversité, cela dit, et on lui en veut à peine de ne pas essayer de se renouveler aujourd'hui, à 65 ans. Face à cette présence massive, il revient au réalisateur coréen Jee-woon Kim de chercher un peu de souplesse, un peu de nouveauté. Le scénario n'en apporte guère (un baron de la drogue filant droit vers le Mexique traverse, hélas pour lui, la paisible bourgade de Schwarzie)...Pour faire vivre tout ça, le réalisateur joue les caméléons, versant tantôt dans l'action musclée, tantôt dans la course de bolides à la Fast and furious, mais aussi dans le western décalé et la comédie. Il continue, donc, à s'amuser, à aimer tout le cinéma, ce qu'on avait déjà remarqué avec son film d'horreur 2 Soeurs (2003), avec son polar A bittersweet life (2005) et avec Le Bon, la brute et le cinglé (2008). On peut regretter que, sur le sol hollywoodien, sa fantaisie ne tourne pas carrément à la folie, à l'esprit série B déglingué pour de bon. Le shérif Schwarzenegger veillait sans doute au grain. — F.S.