Diffusions passées:
La vérité si je mens !, diffusion du dimanche 10 février 2019 à 23h15
Enorme succès public. L'intrigue : un goy pris pour un juif, qui bosse dans le Sentier en gros, voilà tout. Thomas Gilou mise sur le charme des acteurs : Gilbert Melki en Patrick «look the ring» Abitbol, et surtout José Garcia, qui vole les meilleures scènes et les répliques cultes. La vérité, c'est franchement drôle. Critique : | Genre : comédie folklorique. C’est l’histoire d’un type, on le croit juif, il l’est pas et, par conséquent, il est plongé jusqu’au cou dans les quiproquos. Il s’appelle Edouard, mais dans le Sentier, où il a été embauché, on l’a rebaptisé Eddie. Ce qu’il découvre, c’est le milieu de la confection, toujours entre deux magouilles, mais très chaleureux… Thomas Gilou ne se prive pas : c’est avec une verve savoureuse qu’il ausculte (c’est pour de rire) « la frime de la fripe ». On n’en dira pas autant d’un scénario qui tricote à la va-comme-je-te-pousse une banale love story avec tout un paquet de figures imposées. Imaginez la gamme complète des bourdes que peut commettre un goy qui ignorerait jusqu’au mot « sabbat »… A force, le comique de répétition s’essouffle. Et la satire promise reste au niveau de la farce sympa. Un registre dans lequel une bande d’acteurs joyeusement effervescents fait son boulot mieux que bien. Mention spéciale à José Garcia, un quasi-débutant à l’époque, et qui, dans La Vérité… 2, a confirmé qu’il est, tout simplement, le meilleur acteur comique de sa génération.
La vérité si je mens !, diffusion du dimanche 27 janvier 2019 à 21h00
La vérité si je mens !, diffusion du jeudi 07 juin 2018 à 21h00
Enorme succès public. L'intrigue : un goy pris pour un juif, qui bosse dans le Sentier en gros, voilà tout. Thomas Gilou mise sur le charme des acteurs : Gilbert Melki en Patrick «look the ring» Abitbol, et surtout José Garcia, qui vole les meilleures scènes et les répliques cultes. La vérité, c'est franchement drôle. Critique : | Genre : comédie folklorique. Rappelez-vous ce premier opus : au départ, c'était l'histoire d'un type, on le croit juif, il ne l'est pas, et du coup il est plongé jusqu'au cou dans les quiproquos. Il s'appelle Edouard, mais dans le Sentier, on l'a rebaptisé Eddie. Il découvre le milieu de la confection, toujours entre deux magouilles, mais très chaleureux... Thomas Gilou ne se prive pas : il ausculte « la frime de la fripe » avec une verve savoureuse. On n'en dira pas autant d'un scénario qui tricote une banale love story avec figures imposées. Imaginez la gamme complète des bourdes que peut commettre un goy qui ignorerait jusqu'au mot « shabbat »... La satire promise reste au niveau de la farce sympa. Un registre dans lequel la bande d'acteurs fait son boulot mieux que bien. Mention spéciale à José Garcia, un quasi-débutant à l'époque... — Jean-Claude Loiseau
