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La Planète des singes : l’affrontement, diffusion du lundi 12 novembre 2018 à 23h05

Après une pandémie, les humains sont réduits à une poignée de survivants, et les singes ont évolué... Effets spéciaux spectaculaires mais scénario paresseux. Critique : César, fier chimpanzé du film précédent (Les origines), et ses congénères intello-mutants ont fondé un chouette phalanstère en forêt. Mais les derniers humains, survivants d’une terrible pandémie, vont semer la zizanie… Un peu comme si les baroudeurs postapocalyptiques de The Walking Dead rencontraient les gentils gorilles du Tarzan version Disney. C’est encore Andy Serkis (ex-Gollum du Seigneur des anneaux, ex-King Kong…) qui interprète le superprimate. C’est lui qui délivre le message de ce spectaculaire et distrayant « prologue » du classique SF de 1968 : la guerre, c’est mal. Le singe est un loup pour l’homme, à moins que ce ne soit l’inverse…

La planète des singes : l’affrontement, diffusion du lundi 05 novembre 2018 à 21h00

Après une pandémie, les humains sont réduits à une poignée de survivants, et les singes ont évolué... Effets spéciaux spectaculaires mais scénario paresseux. Critique : | Genre : belliqueux. César, fier chimpanzé héros du film précédent (La Planète des singes : Les origines), et ses congénères intello-mutants ont fondé un chouette phalanstère en forêt. Mais les derniers humains, survivants d’une terrible pandémie, vont semer la zizanie… Un peu comme si les baroudeurs postapocalyptiques de The Walking Dead rencontraient les gentils gorilles du Tarzan version Disney. C’est encore Andy Serkis (ex-Gollum du Seigneur des anneaux, ex-King Kong…) qui interprète le superprimate sous des couches d’effets spéciaux numériques. C’est lui qui délivre le profond message de ce spectaculaire et distrayant prequel du classique SF de 1968 avec Charlton Heston : la guerre, c’est mal. Le singe est un loup pour l’homme, à moins que ce ne soit l’inverse…

La planète des singes : l’affrontement, diffusion du lundi 05 mars 2018 à 21h00

Après une pandémie, les humains sont réduits à une poignée de survivants, et les singes ont évolué... Effets spéciaux spectaculaires mais scénario paresseux. Critique : César, fier chimpanzé héros du film précédent (La Planète des singes : les origines), et ses congénères intello-mutants ont fondé un chouette phalanstère en forêt. Mais les derniers humains, survivants d'une terrible pandémie, vont semer la zizanie... Un peu comme si les baroudeurs postapocalyptiques de The Walking Dead rencontraient les gentils gorilles du Tarzan version Disney. C'est encore Andy Serkis (ex-Gollum du Seigneur des anneaux, ex-King Kong...) qui interprète le superprimate sous des couches d'effets spéciaux numériques. C'est lui qui délivre le profond message de ce spectaculaire et distrayant « prequel » du classique SF de 1968, avec Charlton Heston : la guerre, c'est mal. Le singe est un loup pour l'homme, à moins que ce soit l'inverse... — Cécile Mury