Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

La planète blanche, diffusion du lundi 26 novembre 2018 à 22h40

Ce documentaire nous embarque dans un décor immaculé et aride : l'Arctique. Au rythme des saisons polaires, il marche dans les pas de la faune des glaces menacée par le réchauffement climatique. Critique : L’Arctique : un décor immaculé où chacun lutte pour sa survie. Au rythme des saisons polaires, ce documentaire impressionnant marche dans les pas de la faune des glaces, guettant ses stratégies pour se nourrir, se reproduire et se défendre. Ici, nulle trace de l’anthropomorphisme qui plombait La Marche de l’empereur. Dans La Planète blanche, les animaux ne parlent pas et les manchots laissent place à une merveilleuse diversité d’espèces. Licornes aquatiques, oiseaux plongeurs et méduses électriques voisinent avec les ours blancs, les loups arctiques et les baleines boréales… Plaidoyer pour ces animaux menacés de disparition par le réchauffement climatique, le commentaire sait, quand il le faut, s’effacer.

Le rôle de la moto au cinéma

La planète blanche, diffusion du lundi 19 novembre 2018 à 20h55

Ce documentaire nous embarque dans un décor immaculé et aride : l'Arctique. Au rythme des saisons polaires, il marche dans les pas de la faune des glaces menacée par le réchauffement climatique. Critique : | Genre : Ne perdons pas le nord. La planète blanche, c'est l'Arctique. Un décor immaculé où chacun lutte pour sa survie. Au rythme des saisons polaires, ce documentaire impressionnant marche dans les pas de la faune des glaces, guettant ses stratégies pour se nourrir, se reproduire et se défendre. Ici, nulle trace de l'anthropomorphisme qui plombait La Marche de l'empereur. Dans La Planète blanche, les animaux ne parlent pas et les manchots laissent place à une merveilleuse diversité d'espèces. Licornes aquatiques, oiseaux plongeurs et méduses électriques voisinent avec les ours blancs, les loups arctiques et les baleines boréales... Plaidoyer pour ces animaux menacés de disparition par le réchauffement climatique, le commentaire sait, quand il le faut, s'effacer. — Mathilde Blottière