Diffusions passées:
La cité de la peur, diffusion du dimanche 11 novembre 2018 à 21h00
Chabat et sa bande se farcissent le monde impitoyable du cinéma. Festival d'humour bite-couilles (dixit Chabat) qui fit fureur dans les cours de récré. Critique : | Genre : I have in the bilouque. Odile Deray, incompétente attachée de presse d'un film d'horreur de série Z, est aux anges : pendant le festival de Cannes, les projectionnistes du film sont tués les uns après les autres, créant ainsi le buzz autour de ce navet notoire. Il va falloir protéger la star du film, l'incultissime Simon Jérémi, qui vomit quand il est heureux. Rappelez-vous, l'humour des Nuls était très caca prout et régressif (la longue course-poursuite avec Alain Chabat pris de colique est... un fabuleux moment de scatologie). Avouons-le, une légère déception avait saisi le « nulophile » à la sortie du film, car il avait du mal à soutenir la comparaison avec les gags télé des trois compères : scénario indigent, rythme faiblard... Mais aujourd'hui, Les Nuls ont déserté le petit écran, et La Cité de la peur est devenu culte. Ce nanar est aux années 1990 ce que Le Père Noël est une ordure fut aux années 1980 : un monument d'humour débile mais hilarant, avec sa litanie de répliques que les fans se repassent en boucle : « Serge Karamazov, aucun lien, je suis fils unique » ; « On peut tromper mille fois une personne, mais on ne peut pas tromper une fois mille personnes... » ; « Un whisky ? — Juste un doigt. — Vous voulez pas un whisky d'abord ? » Etc. — Anne Dessuant
La cité de la peur, diffusion du dimanche 04 juin 2017 à 22h20
Odile Deray, attachée de presse, se démène pour faire parler de son film, «Red Is Dead». En compétition au Festival de Cannes, ce navet raconte l'histoire d'un sidérurgiste qui assassine ses victimes avec un marteau et une faucille. Or, après chaque projection et avec une régularité de métronome, un maniaque élimine les projectionnistes de la même manière. Odile voit du meilleur oeil ces crimes qui assurent à son fichu navet une promotion aussi efficace qu'inespérée. Profitant de cet engouement de la presse autour de l'«affaire», elle fait venir à Cannes l'interprète principal du film, Simon Jérémi, protégé par son garde du corps, Serge Karamazov. Ce dernier n'a d'yeux que pour les starlettes qui tapissent les lieux. Bialès, le commissaire chargé de l'enquête, est obsédé quant à lui par les médias... -- Critique : L'esprit potache souffle sur le premier film des Nuls. Après avoir sévi sur le Canal+ de la grande époque, Chabat et sa bande se farcissent le monde du cinéma. Festival d'humour bite-couilles (dixit Chabat) qui fit fureur dans les cours de récré.
