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Jamais le premier soir, diffusion du dimanche 17 mars 2019 à 21h05
Pour un film censé « rendre heureux » (comme le proclame l’affiche), cette comédie sur les déboires sentimentaux de trois copines est tristement ratée. C’est, d’abord, une chronique (pas drôle) de la dépression au féminin. C’est, ensuite, une histoire d’amour (bâclée) entre Alexandra Lamy et Jean-Paul Rouve. Critique : | Genre : « Dépression et des potes » au féminin. Déjà tombé aux oubliettes, cet embarrassant (premier) long métrage de Mélissa Drigeard lorgne vers Le Journal de Bridget Jones pour raconter, sur un mode qui se veut humoristique, les déboires sentimentaux de trois copines. D'abord sous forme de chronique (rudimentaire et, surtout, pas drôle) de la dépression au féminin, où Alexandra Lamy cabotine dans une sorte d'interminable sketch d'Un gars, une fille, façon « Chouchou contre la déprime ». Ensuite sous forme d'histoire d'amour (bâclée) entre elle et le libraire interprété par Jean-Paul Rouve. Pour une comédie censée « rendre heureux » (comme le proclamait l'affiche), c'est tristement raté. — Nicolas Didier
