Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Jack Reacher : Never Go Back, diffusion du dimanche 24 mars 2019 à 21h05

Ex-militaire devenu justicier, Jack Reacher revient sauver l'armée américaine, noyautée par des renégats. Avec beaucoup de méchants coups de latte et de poings dans la gueule, un film d'action digne du cinoche des années 80. Un petit plaisir. Critique : | Genre : Tom Cruise sauce vintage. Ex-militaire devenu justicier, le personnage de Jack Reacher offre de nouveau à Tom Cruise la possibilité d’incarner une sorte de superhéros réaliste, vainqueur avec ses poings et son mental d’acier. Cette cure de testostérone passait bien sous la gouverne du stylé Christopher McQuarrie, qui signa le premier Jack Reacher (2012). Cette fois, on oublie les bonnes manières : méchants coups de latte et poings dans la gueule, voilà tout ce qu’on aura. Avec ce thriller où l’armée américaine est noyautée par des renégats, on se croirait dans le cinoche des années 1970 ou 1980. Un petit plaisir rétro et un peu ­rétrograde. Un petit plaisir quand même.

Le rôle de la moto au cinéma

Jack Reacher : Never Go Back, diffusion du vendredi 16 février 2018 à 13h30

Ex-militaire devenu justicier, Jack Reacher revient sauver l'armée américaine, noyautée par des renégats. Avec beaucoup de méchants coups de latte et de poings dans la gueule, un film d'action digne du cinoche des années 80. Un petit plaisir. Critique : Ex-militaire devenu justicier imparable, le personnage de Jack Reacher offre, de nouveau, à Tom Cruise la possibilité d'incarner une sorte de superhéros réaliste, vainqueur avec ses poings et son mental d'acier. Cette cure de testostérone passait bien sous la gouverne du stylé Christopher McQuarrie, qui signa le premier Jack Reacher (2012). Cette fois, on oublie les bonnes manières : méchants coups de latte et poings dans la gueule, voilà tout ce qu'on aura. Avec ce thriller où l'armée américaine est noyautée par des renégats, on se croirait dans le cinoche des années 1970 ou 1980. Un petit plaisir rétro et un peu rétrograde. Un petit plaisir quand même. — Frédéric Strauss