Diffusions passées:
Hunger Games : la révolte, 1ère partie, diffusion du jeudi 31 mai 2018 à 23h40
Le troisième épisode de la saga dystopique est un bon cru : suspense, émotion, mais surtout critique étonnante (pour un blockbuster américain) de la manipulation médiatique. Critique : | Genre : le début de la fin. Hunger Games, avant-dernière. Pour faire durer le plaisir (et le profit), les producteurs ont coupé en deux l'ultime tome de la saga dystopique de Suzanne Collins : c'est la demi-lutte finale. Debout, les damnés de Panem, la dictature du futur, dominée par les privilégiés du Capitole et leur président, Snow, un pervers, amateur de roses — Donald Sutherland, tout en rictus diaboliques. Mais la vedette est toujours Katniss Everdeen, concurrente d'un jeu télé mortel, devenue, malgré elle, le symbole absolu de la révolte. Réfugiée chez les dissidents d'un « District 13 » à l'ambiance très nord-coréenne (du kaki, de l'unanimité et du béton), elle semble attendre la suite, comme tout le monde, spectateurs compris. Car, à force d'allers-retours entre le dedans (un immense et impressionnant silo souterrain) et le dehors, ravagé par la guerre civile, ce gros divertissement stagne un peu, surtout en comparaison avec les épisodes précédents. Si on se laisse malgré tout happer, ce n'est pas grâce à une Jennifer Lawrence plus larmoyante que d'habitude, ni même au regretté Philip Seymour Hoffman — dans un savoureux rôle de conseiller en com. Le vrai plaisir vient avec la dénonciation percutante de tactiques bien particulières : la manipulation de masse, la guerre des images. Dans une critique à peine voilée des médias, américains en particulier, les méchants comme les gentils rivalisent de cynisme à coups de clips vidéo, de propagande et contre-propagande. C'est assez rare, dans un blockbuster hollywoodien, pour être remarqué. — Cécile Mury
Hunger Games : la révolte, 1ère partie, diffusion du lundi 28 mai 2018 à 21h00
Hunger Games : la révolte, 1ère partie, diffusion du lundi 24 avril 2017 à 21h00
Après avoir réduit en poussière l'arène des Jeux, Katniss a été recueillie par les rebelles du District 13 et Plutarch Heavensbee, qui veut faire d'elle le symbole de la Révolte sous le surnom de «Geai moqueur». Peeta, de son côté, a été enlevé par le Président Snow, décidé à le transformer en porte-drapeau du Capitole. Katniss, surprise de voir que son ami est en vie, pose ses conditions à Plutarch Heavensbee : elle soutiendra la Révolte uniquement si elle peut sauver Peeta. Il cède et la laisse partir à l'assaut du Capitole. Une lutte sans merci commence... -- Critique : Le troisième épisode des aventures de Katniss Everdeen, héroïne de la fameuse saga dystopique, est un bon cru : suspense, émotion, mais surtout critique étonnante (pour un blockbuster américain) de la manipulation médiatique des masses.
