Diffusions passées:
Fashion Victime, diffusion du lundi 15 avril 2019 à 13h50
Melanie Carmichael, une styliste, décide de quitter son Alabama natal pour faire carrière à New York. Lors d'une soirée mondaine, la belle rencontre Andrew Hennings, le fils d'une personnalité politique très en vue de la ville. Mais, pour épouser ce beau parti, elle doit divorcer de Jake, resté dans sa région d'origine. A cette fin, elle rentre en Alabama, fermement décidée à annoncer sa décision à son mari. Pourtant, dès son arrivée, Melanie s'interroge. Elle doute et ne parvient plus à savoir lequel des deux hommes de sa vie est réellement l'élu de son coeur. D'autant que son mari s'oppose fermement à son projet... Critique : Il y a tout juste un an, Reese Witherspoon savourait la Revanche d'une blonde, comédie irrésistible, démonstration irréfutable des vertus de la frivolité, voire de la superficialité. De loin, ce nouveau film porté à bout de bras par la même lovely girl pourrait presque ressembler à une suite. C'est hélas tout le contraire : exaltation poujadiste du terroir, de l'authenticité, des « vraies gens », des « vraies valeurs ». Reese va décevoir une partie de ses fans d'ici en draguant cette fois l'électorat de Bush. « Le Sud reprend le pouvoir », entend-on au moment clé, tandis qu'on moleste la maire démocrate de New York, au look Hillary Clinton (et jouée excellemment par Candice Bergen)... Le titre original, Sweet home Alabama, comme le standard rock, annonçait la couleur. Melanie, la provinciale sympa, s'est fait un nom dans les milieux de la mode (sous-entendu : un monde de perdition) à Manhattan. Mais avant d'épouser le célibataire le plus en vue de la ville, elle doit retourner dans sa cambrousse natale pour défaire un premier mariage, datant du lycée, avec un jeune plouc local. Le scénario entretient gentiment un faux suspense quant à l'issue de sa démarche. Va-t-elle faire une croix définitive sur ses origines popu délibérément niées ou, au contraire, se laisser reconquérir par ce bon vieux Sud, etc. ? Ces atermoiements seraient charmants s'ils n'aboutissaient à la conclusion navrante qu'on fait les meilleures soupes dans les vieux pots, que les politiques sont pourris, la vie urbaine frelatée, et qu'il vaut mieux rester toute sa vie avec son premier flirt. Outre-Atlantique, Fashion Victime est l'un des gros cartons de l'année... - Louis Guichard
Fashion Victime, diffusion du lundi 26 juin 2017 à 14h30
Melanie Carmichael, une styliste, décide de quitter son Alabama natal pour faire carrière à New York. Lors d'une soirée mondaine, la belle rencontre Andrew Hennings, le fils d'une personnalité politique très en vue de la ville. Mais, pour épouser ce beau parti, elle doit divorcer de Jake, resté dans sa région d'origine. A cette fin, elle rentre en Alabama, fermement décidée à annoncer sa décision à son mari. Pourtant, dès son arrivée, Melanie s'interroge. Elle doute et ne parvient plus à savoir lequel des deux hommes de sa vie est réellement l'élu de son coeur. D'autant que son mari s'oppose fermement à son projet... -- Critique : Fustiger les New-Yorkais snobinards ET démocrates (quelle horreur !) ; glorifier ces exemplaires sudistes d'Alabama (quoi, l'esclavage ?) et prôner les vraies valeurs : l'amour de la famille, des chiens et... de la bière. Pire que la campagne du Tea Party.
Fashion Victime, diffusion du lundi 26 juin 2017 à 14h30
Melanie Carmichael, une styliste, décide de quitter son Alabama natal pour faire carrière à New York. Lors d'une soirée mondaine, la belle rencontre Andrew Hennings, le fils d'une personnalité politique très en vue de la ville. Mais, pour épouser ce beau parti, elle doit divorcer de Jake, resté dans sa région d'origine. A cette fin, elle rentre en Alabama, fermement décidée à annoncer sa décision à son mari. Pourtant, dès son arrivée, Melanie s'interroge. Elle doute et ne parvient plus à savoir lequel des deux hommes de sa vie est réellement l'élu de son coeur. D'autant que son mari s'oppose fermement à son projet... -- Critique : Fustiger les New-Yorkais snobinards ET démocrates (quelle horreur !) ; glorifier ces exemplaires sudistes d'Alabama (quoi, l'esclavage ?) et prôner les vraies valeurs : l'amour de la famille, des chiens et... de la bière. Pire que la campagne du Tea Party.