Diffusions passées:

Divergente 3 : au-delà du mur, diffusion du lundi 05 novembre 2018 à 23h20

Dans cet avant-dernier volet de la saga futuriste, il ne reste qu'un divertissement orwellien boursouflé. Critique : | Genre : futurisme poussif. Succès et marketing obligent, il fallait faire durer le plaisir : adapter en deux fois la fin de la trilogie de Veronica Roth. Voici donc le pénultième volet de la saga futuriste Divergente, où nos héros ados font le mur (d'enceinte). Cet épisode poussif abandonne ce qui faisait la spécificité des précédents, à savoir les rivalités entre factions (Audacieux, Erudits et Fraternels). Ne reste que la description boursouflée d'une société totalitaire, un divertissement sous-orwellien, écrit par des scénaristes à l'imagination étriquée et à la main lourde, recyclant sans scrupule jusqu'à l'horreur concentrationnaire. Ces univers aseptisés de dystopies adolescentes, tout en images de synthèse lisses et truffés de gadgets numériques, on en a vite marre. — Nicolas Didier

Divergente 3 : au-delà du mur, diffusion du lundi 29 octobre 2018 à 21h00

Divergente 3 : au-delà du mur, diffusion du mercredi 05 juillet 2017 à 13h45

Choqués par le message des fondateurs leur dévoilant le véritable objectif du système des factions, Tris, «Quatre» et leurs compagnons décident de franchir le mur encerclant Chicago pour découvrir le monde qui les entoure et ses survivants. Mais au-delà de la clôture, ils découvrent un univers hostile avant d'être accueillis par un nouveau peuple complaisant et protecteur. A peine ont-ils compris avoir fait partie d'une expérience qui visait à restructurer la société qu'ils sont à nouveau confrontés à un défi de plus grande envergure. Alors que les dirigeants de ce nouveau monde ont en effet décidé de sélectionner les individus selon la pureté de leur code génétique, une terrible bataille se prépare à Chicago entre les anciens résistants... -- Critique : Avant-dernier volet de la saga futuriste, qui délaisse ce qui faisait la spécificité des précédents (les rivalités entre factions à Chicago). Ne reste, alors, qu'un divertissement sous-orwellien, description boursouflée d'une société totalitaire.