Diffusions passées:
Brice 3, diffusion du jeudi 21 février 2019 à 21h00
Gags plus débiles, réalisation plus débridée : ce n'est pas Brice 3, c'est « Brice au cube » ! Même si on aime toujours son QI de plancton (et l'autodérision de Dujardin ), à force , il lasse un peu le roi de la casse… Critique : | Genre : annule et remplace le 2. Une scène de manga à la Dragon Ball Z, du rap, un bout de comédie musicale qui rappelle Bob l’éponge et, surtout, des gags et des vannes encore plus débiles que dans Brice de Nice (2005) : ce deuxième volet tardif (le 3 du titre est une bonne blague) vise ouvertement un public pré–ado, celui qui se marre devant Touche pas à mon poste. Avec Brice, vieux gamin au QI de plancton, un ou deux éclats de rire incontrôlés restent possibles, mais tant de bêtise assumée et la joyeuse mocheté de la mise en scène finissent par fatiguer même les anciens fans de l’homme en jaune. La seconde partie, où le roi de la casse tombe sur « un club de vacances de lui », dirigé par son double maléfique, séduit un peu plus, surtout grâce à la morale non dénuée d’autodérision qui s’y glisse : trop d’ego tue l’humour…
Brice 3, diffusion du mercredi 11 avril 2018 à 13h30
Gags plus débiles, réalisation plus débridée : ce n'est pas Brice 3, c'est « Brice au cube » ! Même si on aime toujours son QI de plancton (et l'autodérision de Dujardin ), à force , il lasse un peu le roi de la casse… Critique : Une scène de manga à la Dragon Ball Z, du rap, un bout de comédie musicale qui rappelle Bob l'éponge, et surtout des gags et des vannes encore plus débiles que dans Brice de Nice (2005) : ce deuxième volet tardif (le 3 du titre est une bonne blague) vise ouvertement un public pré-ado, celui qui se marre devant Touche pas à mon poste. Avec Brice, vieux gamin au QI de plancton, un ou deux éclats de rire incontrôlés restent possibles, mais tant de bêtise assumée et la joyeuse mocheté de la mise en scène finissent par fatiguer même les anciens fans de l'homme en jaune. La seconde partie, où le roi de la casse tombe sur « un club de vacances de lui », dirigé par son double maléfique, séduit un peu plus, surtout grâce à la morale non dénuée d'autodérision qui s'y glisse : trop d'ego tue l'humour... — Guillemette Odicino