Diffusions passées:
Boutiques obscures, Issy-les-Moulineaux – Cavaillon – Gannat – Toulouse, diffusion du vendredi 29 mars 2019 à 09h15
A Issy-les-Moulineaux, Lisa, 94 ans, tient seule «Le Bavarois», un restaurant d'une dizaine de couverts. Quant à Gladys, elle vend de la lingerie avec passion au coeur de Cavaillon. Puis, rencontre avec Robert Clin, qui habille les hommes et les femmes de Gannat, en Auvergne, depuis 1955. Enfin, visite de la droguerie Taverne, véritable institution à Toulouse.
Boutiques obscures, Chartres – La Plaine-sur-mer – Somain – Toulouse, diffusion du jeudi 28 mars 2019 à 09h15
A Chartres, Patrice Leconte rencontre deux femmes qui tiennent un magasin de réparation de poupées. Il se rend ensuite à La Plaine-sur-Mer, où Yvette tient une épicerie à deux pas de la plage. A Somain, dans le Nord, Etiennette et Jean-Luc font vivre leur brûlerie de café. Enfin, le voyage s'achève à Toulouse, à la droguerie Taverne, institution de la ville où produits anciens côtoient emballages modernes.
Boutiques obscures, Reims – Metz – Dijon – Genlis, diffusion du mercredi 27 mars 2019 à 09h20
Patrice Leconte poursuit son périple à la découverte des petits commerces de France qui perpétuent des activités souvent disparues ailleurs. A Reims, il entre dans «La Boîte à rires», le magasin de farces et attrapes de Gilles. En Lorraine, il découvre à Metz le magasin de vélos «Les Cycles Walas», tenu par Marianne, 89 ans, et sa fille Simone. A Dijon, le réalisateur s'arrête devant la vitrine fascinante de la chapellerie Bruyas. Un magasin qu'Yvette fait vivre depuis plusieurs dizaines d'années. Enfin, à Genlis, en Bourgogne, Patrice Leconte admire les innombrables véhicules miniatures que vend Jean-Michel.
Boutiques obscures, Dieulefit – Gannat – Cavaillon – Périgueux, diffusion du mardi 26 mars 2019 à 09h20
Dans ce second volet, Patrice Leconte s'intéresse à d'autres boutiques à la fois pleine de charme et de mystère. A Dieulefit, dans la Drôme, il s'intéresse à un commerce singulier qui mérite que l'on s'y arrête. Dans le Vaucluse tout proche, il s'arrêt à Cavaillon et déambule non loin de la place du Clos. Il se rend aussi à Périgueux, préfecture de la Dordogne, dont il arpente les petites rues entourant la cathédrale Saint-Front. Il visite également Gannat, commune oubliée de l'Allier et située sur l'ex Nationale 209 menant à Vichy. Là, non loin des deux supérettes et des trois épiceries de la commune, il découvre une boutique d'exception. Critique : « Le passé du passéisme est un idéal à venir », écrivait le philosophe Vladimir Jankélévitch… A l’heure de la standardisation commerciale, du branding triomphant, de la duplication sans fin des mêmes enseignes sur tout le territoire, l’idée qu’a eue Patrice Leconte d’aller filmer ces « boutiques obscures » est, de ce point de vue, éminemment salutaire. En sillonnant la France, le réalisateur des Bronzés et de Ridicule a déniché seize petits commerces qui poursuivent coûte que coûte leur activité, malgré la concurrence des grandes surfaces, et qui sont autant de sanctuaires de singularité et de poésie. Des lieux de culture, aussi, où la caméra, en s’attardant sur les objets, les visages, les récits des tenanciers — la plupart d’un âge avancé —, capte la trace émouvante du temps qui passe. A Rouen, elle furète dans le capharnaüm d’un bouquiniste barbu et chevelu, au désordre soigneusement organisé. A Dieulefit, elle explore un bazar qui vend de tout… « mais pas de ratons-laveurs », précise, facétieux, le propriétaire. Dans l’Eure, elle fixe les ciseaux du « plus vieux coiffeur du monde », 95 ans, qui s’étonne chaque jour, en parcourant les nécros du journal local, de ne pas y voir son nom. Quelques traits d’humour, une pointe d’amertume, beaucoup de douceur dans cette collection de miniatures, et surtout un épais voile de tristesse, appuyée par la musique d’Etienne Perruchon. Parfois, on s’égare un peu dans l’anecdote, et on regrette que le côté portrait prenne le pas sur l’esprit des lieux. Mais sans doute est-ce pour mieux nous rappeler que ces commerces, quoique moribonds, sont infiniment plus vivants que n’importe lequel de nos supermarchés.
Boutiques obscures, Issy-les-Moulineaux – Beaumont-le-Roger – Sarzeau – Rouen, diffusion du lundi 25 mars 2019 à 09h20
Premier volet d'une série documentaire offrant l'occasion rare d'accompagner le réalisateur français Patrice Leconte dans son univers fascinant. De commune en commune, il arpente le territoire français pour pénétrer dans ce qu'il dénomme les «obscures boutiques». Un à un, ces commerces sont soumis à son regard empreint d'une curiosité joyeuse. La caméra de Patrice Leconte met en lumière des magasins étranges, de petits commerces à la santé immuables, des échoppes à la clientèle tantôt choisie tantôt nébuleuse. Le plus souvent, il semble que le temps n'ait pas d'emprise sur ces lieux pas toujours aussi poussiéreux qu'on peut le supposer. Patrice Leconte se rend notamment à Beaumont-le-Roger, commune normande de 3000 habitants traversée par la Risle et la Bave. Critique : Le réalisateur des Bronzés a déniché seize petits commerces qui poursuivent coûte que coûte leur activité, malgré la concurrence des grandes surfaces. Beaucoup de douceur et de tristesse dans cette salutaire collection de « boutiques obscures ».
Boutiques obscures, Dieulefit – Gannat – Cavaillon – Périgueux, diffusion du mardi 20 novembre 2018 à 00h45
Dans ce second volet, Patrice Leconte s'intéresse à d'autres boutiques à la fois pleine de charme et de mystère. A Dieulefit, dans la Drôme, il s'intéresse à un commerce singulier qui mérite que l'on s'y arrête. Dans le Vaucluse tout proche, il s'arrêt à Cavaillon et déambule non loin de la place du Clos. Il se rend aussi à Périgueux, préfecture de la Dordogne, dont il arpente les petites rues entourant la cathédrale Saint-Front. Il visite également Gannat, commune oubliée de l'Allier et située sur l'ex Nationale 209 menant à Vichy. Là, non loin des deux supérettes et des trois épiceries de la commune, il découvre une boutique d'exception.