Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Banlieusards, Quarante ans à Chanteloup-les-Vignes, diffusion du mardi 20 juin 2017 à 03h15

Depuis 1973, date de la construction de la Cité de Noé, Chanteloup-les Vignes est devenue l'une des banlieues emblématiques de la région parisienne, symbole presque à elle seule de tous les problèmes sociaux de l'époque. Dix mille habitants, d'origines diverses et de condition modeste, s'y côtoient. Entre rêves, épreuves et tensions en tous genres, des élus locaux, des habitants et des associations se mobilisent pour surmonter les difficulté et faire de Chanteloup-les Vignes un exemple du «vivre ensemble» et de solidarité. Juan Massenya y a vécu une grande partie de sa jeunesse. Dans ce documentaire, il raconte son expérience de la banlieue. -- Critique : Après avoir expliqué la dégringolade de Chanteloup-les-Vignes dans les années 90, ce second volet raconte la reprise en main de la commune par ses habitants. Un propos nuancé, qui souligne aussi la fragilité de ce renouveau.

Le rôle de la moto au cinéma

Banlieusards, Quarante ans à Chanteloup-les-Vignes, diffusion du jeudi 15 juin 2017 à 23h30

Le rôle de la moto au cinéma

Banlieusards, Quarante ans à Chanteloup-les-Vignes, diffusion du mardi 13 juin 2017 à 02h40

Jusqu'en 1973, Chanteloup-les Vignes est un petit village agricole de l'Ouest parisien. Mais à cette date, l'Etat impose la construction de la cité de la Noé, une ville nouvelle de 8000 habitants, sur les champs aux alentours. Chanteloup-les Vignes sera pendant quarante ans la banlieue la plus filmée de la région parisienne. Chaque événement va y être amplifié par les médias, tandis qu'en 1995, Mathieu Kassovitz y tourne son film «La Haine». Dix mille habitants d'origines diverses et de condition modeste se retrouvent réunis sur ce territoire isolé, autant par les hasards de la vie et de l'histoire que par les intentions utopiques des urbanistes des années 70. -- Critique : Comment la petite commune de Chanteloup-les-Vignes est-elle devenue synonyme de "banlieue sensible" en perdition au début des années 1990 ? Juan Massenya, qui y a passé son enfance, analyse dans ce premier volet engagé la mauvaise réputation de la ville aux "64 ethnies", stigmatisée par les médias audiovisuels. Un décryptage méticuleux.

Le rôle de la moto au cinéma

Banlieusards, Quarante ans à Chanteloup-les-Vignes, diffusion du vendredi 09 juin 2017 à 00h00

Jusqu'en 1973, Chanteloup-les Vignes est un petit village agricole de l'Ouest parisien. Mais à cette date, l'Etat impose la construction de la cité de la Noé, une ville nouvelle de 8000 habitants, sur les champs aux alentours. Chanteloup-les Vignes sera pendant quarante ans la banlieue la plus filmée de la région parisienne. Chaque événement va y être amplifié par les médias, tandis qu'en 1995, Mathieu Kassowitz y tourne son film «La Haine». Dix mille habitants d'origines diverses et de condition modeste se retrouvent réunis sur ce territoire isolé, autant par les hasards de la vie et de l'histoire que par les intentions utopiques des urbanistes des années 70. -- Critique : Comment la petite commune de Chanteloup-les-Vignes est-elle devenue synonyme de "banlieue sensible" en perdition au début des années 1990 ? Juan Massenya, qui y a passé son enfance, analyse dans ce premier volet engagé la mauvaise réputation de la ville aux "64 ethnies", stigmatisée par les médias audiovisuels. Un décryptage méticuleux.