Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Ali Baba et les quarante voleurs, diffusion du lundi 13 août 2018 à 21h00

Adaptation d'un conte des Mille et Une Nuits dont le charme exotique est foutu par terre à cause du jeu grimaçant de Fernandel. Nul ! Critique : | Genre : comédie bouffonne pour Fernandel. Jacques Becker fut séduit par l'idée de réaliser - sur un scénario de Cesare Zavattini, un maître du néoréalisme ! - un divertissement inspiré des Mille et Une Nuits. Mais le producteur souhaitait une féerie orientale spectaculaire, dans laquelle Fernandel devait apparaître sous son aspect comique habituel. Pour se tirer de ces contrain­tes, Jacques Becker choisit la voie, nouvelle pour lui, de la parodie. Ce n'est pas manquer à sa mémoire que de constater, après avoir revu ce film maintes fois, qu'il s'agit d'une « comédie marseil­laise » bien banale. Ni le public habituel de Fernandel ni les cinéphiles n'y ont jamais vraiment trouvé leur compte.

Le rôle de la moto au cinéma

Ali Baba et les quarante voleurs, diffusion du lundi 05 juin 2017 à 13h50

Ali Baba, serviteur du riche marchand Cassim, achète pour ce dernier la danseuse Morgiane au marché des esclaves. Séduit par la jeune femme, qu'il trouve trop belle pour son maître, Ali Baba l'endort avec un philtre. Puis, pour faire plaisir à Morgiane, il s'en va chercher un magnifique perroquet vert que la belle esclave avait remarqué dans une caravane. Alors qu'il négocie le prix de l'oiseau avec les nomades, la caravane est attaquée par quarante voleurs. Caché dans un panier, Ali Baba est emmené dans le repaire des brigands, une caverne qui renferme un fabuleux butin. Sur place, le serviteur de Cassim entend les mots magiques qui permettent d'ouvrir l'accès à la grotte. Ali Baba, qui se demandait comment racheter Morgiane à son maître pour l'épouser, décide de saisir cette opportunité de s'enrichir... -- Critique : Adaptation pitoyable d'un conte des Mille et Une Nuits dont le charme exotique est foutu par terre à cause du jeu grimaçant de Fernandel, dirigé par un Jacques Becker qui ne sait pas quoi faire de son acteur. Nul !