Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Planète bleue, Un seul océan, diffusion du mercredi 05 février 2020 à 10h50

Les océans couvrent 70% de la surface de notre planète. Des labyrinthes des fjords de Norvège au Pacifique Sud, en passant par la mer de Cortès, au Mexique, ce documentaire, commenté par David Attenborough, montre comment évoluent les animaux qui peuplent les océans et les mers de la planète. Qu'ils volent à leur surface ou y plongent pour s'y nourrir, comme les sternes ou les macareux moines, les oiseaux doivent tous défier la force des vagues et les prédateurs qu'elles abritent s'ils veulent survivre. Quant à ceux qui vivent sous la surface de l'eau, ils doivent faire preuve d'ingéniosité et d'esprit d'équipe, comme les dauphins, les orques ou les poissons-clowns, pour se nourrir et se reproduire.

Le rôle de la moto au cinéma

Planète bleue, Les récifs coralliens, diffusion du samedi 01 février 2020 à 14h00

Les mers chaudes abritent d'innombrables espèces qui se sont développées au sein d'écosystèmes parfois fragiles. Les récifs de coraux s'apparentent aux forêts tropicales terrestres. Peuplés de myriades de poissons, ils font preuve d'une violence insoupçonnée : en effet, les coraux s'anéantissent les uns les autres pour survivre. Durant la nuit, les polypes des coraux partent ainsi à la conquête de nouveaux territoires. Au même moment, les requins à pointes blanches partent en chasse. Les coraux sont également victimes de prédateurs et abritent maintes espèces avec lesquelles ils vivent en parfaite symbiose. A leur insu, les coraux servent aussi de pièges comme de refuges, permettant à toutes sortes de créatures de s'inscrire dans la chaîne alimentaire.

Planète bleue, Les grandes profondeurs, diffusion du samedi 25 janvier 2020 à 13h50

L'océan est un monde immense aux mystères infinis, où il n'y a nulle part où se cacher et très peu à manger. Les animaux marins sont capables de records pour se nourrir ou se reproduire. Au large de la Californie, des images en haute définition dévoilent deux espèces aussi différentes que les otaries et les demoiselles Garibaldi, qui mettent au point des stratégies de chasse sophistiquées. Et comment certaines tortues parcourent plus de 1500 kilomètres pour revenir sur le lieu de leur naissance et trouver les conditions qui leur permettront de pondre à leur tour. Les albatros, eux, survolent des milliers de kilomètres carrés d'océan pour faire un seul repas. Tout comme dans les déserts terrestres, la vie peut être rude dans l'infinité bleue.

Planète bleue, Un seul océan, diffusion du samedi 18 janvier 2020 à 14h00

Le rôle de la moto au cinéma

Planète bleue, Dans le secret des profondeurs, diffusion du mardi 08 mai 2018 à 13h55

L'océan est un monde immense aux mystères infinis, où il n'y a nulle part où se cacher et très peu à manger. Les animaux marins sont capables de records pour se nourrir ou se reproduire. Au large de la Californie, des images en haute définition dévoilent deux espèces aussi différentes que les otaries et les demoiselles Garibaldi, qui mettent au point des stratégies de chasse sophistiquées. Et comment certaines tortues parcourent plus de 1500 kilomètres pour revenir sur le lieu de leur naissance et trouver les conditions qui leur permettront de pondre à leur tour. Les albatros, eux, survolent des milliers de kilomètres carrés d'océan pour faire un seul repas. Tout comme dans les déserts terrestres, la vie peut être rude dans l'infinité bleue. Critique : Envie de jeter un œil sur le plus gigantesque banc de poissons qui soit (en l’espèce, des anchois) ou encore d’observer les drôles de mœurs des blennies, variété de petites ­anguilles de roche que la crainte des prédateurs marins incite à quitter l’eau pour survivre ? Vous êtes au bon endroit. A l’image du premier volet, diffusé la semaine passée, cette seconde partie du diptyque Planète bleue oscille, dans ses impressionnantes séquences essentiellement sous-marines, entre immensément grand (baleines à bosse, cachalots, éléphants de mer) et infiniment petit (dragons de mer, crevettes et corbeilles de Vénus). Mais c’est sans doute l’incroyable activité géologique immortalisée dans les profondeurs du golfe du Mexique qui fascine le plus. Images de cheminées hydro-thermales crachant de l’eau bouillante et d’un lac abyssal dont l’eau, cinq fois plus salée que celle de l’océan tout autour, provoque des chocs toxiques fatals à la plupart des créatures qui s’y aventurent. Un captivant voyage au centre de la mer.

Le rôle de la moto au cinéma

Planète bleue, Voyage au coeur des océans, diffusion du mardi 01 mai 2018 à 13h55

Les océans couvrent 70% de la surface de notre planète. Des labyrinthes des fjords de Norvège au Pacifique Sud, en passant par la mer de Cortès, au Mexique, ce documentaire, commenté par David Attenborough, montre comment évoluent les animaux qui peuplent les océans et les mers de la planète. Qu'ils volent à leur surface ou y plongent pour s'y nourrir, comme les sternes ou les macareux moines, les oiseaux doivent tous défier la force des vagues et les prédateurs qu'elles abritent s'ils veulent survivre. Quant à ceux qui vivent sous la surface de l'eau, ils doivent faire preuve d'ingéniosité et d'esprit d'équipe, comme les dauphins, les orques ou les poissons-clowns, pour se nourrir et se reproduire. Critique : Fin 2001, la BBC diffusait pour la toute première fois Planète bleue, super coproduction animalière qui avait contribué à révéler quelques grands mystères de la vie océanique, grâce à la patience des équipes de tournage et à la mise en œuvre de technologies de prises de vues ultra modernes. Une quinzaine d’années plus tard, la chaîne publique britannique (épaulée par ses partenaires étrangers, dont France Télévisions) est retournée sonder les immensités marines et les rivages du globe, en quête d’images jamais vues et d’épopées inédites. Challenge relevé haut la main dans le premier volet de cette version remontée (1) , qui propose par exemple une fabuleuse scène nocturne immortalisant, en mer de Cortez, le festin nocturne de plancton phosphorescent auquel s’adonne un vaste essaim de raies Mobula. Volontiers onirique et richement peuplé de créatures sous-marines des plus populaires (dauphins, requins, baleines ont droit à leur quart d’heure de gloire), le documentaire sait aussi bien ménager sueurs froides (les pratiques alimentaires du bobbit, ver marin géant aux crochets acérés, pourraient bien hanter quelques cauchemars…) que susciter d’authentiques émerveillements. Le spectacle est total, et la dimension familiale du programme n’a pas conduit— c’est une bonne nouvelle — les auteurs à éluder la précarité des équilibres naturels filmés. En témoigne l’ultime séquence, douce-amère, illustrant les effets du réchauffement climatique et de la fonte de la banquise sur le comportement des morses et des ours blancs.   (1) La série originelle sur BBC One compte sept épisodes d’une heure.   Suivi du making of. Suite et fin samedi prochain.

Le rôle de la moto au cinéma

Planète bleue, L’avenir des océans, diffusion du samedi 28 avril 2018 à 22h25

L'immensité des océans semble les préserver de toutes les agressions naturelles ou humaines. Il n'en est rien. Les changements climatiques de ces dernières années influent notamment sur la vie des coraux, dont les populations diminuent à cause d'eaux trop chaudes. Ailleurs, ce sont les activités humaines qui polluent directement les mers. Le plastique, notamment, se décompose en petites particules ingérées par les animaux marins. L'impact sur ces écosystèmes inquiète certains scientifiques qui tirent la sonnette d'alarme. D'autres cherchent des solutions pour garantir l'avenir des océans.

Le rôle de la moto au cinéma

Planète bleue, Dans le secret des profondeurs, diffusion du samedi 28 avril 2018 à 20h55

L'océan est un monde immense aux mystères infinis, où il n'y a nulle part où se cacher et très peu à manger. Les animaux marins sont capables de records pour se nourrir ou se reproduire. Au large de la Californie, des images en haute définition dévoilent deux espèces aussi différentes que les otaries et les demoiselles Garibaldi, qui mettent au point des stratégies de chasse sophistiquées. Et comment certaines tortues parcourent plus de 1500 kilomètres pour revenir sur le lieu de leur naissance et trouver les conditions qui leur permettront de pondre à leur tour. Les albatros, eux, survolent des milliers de kilomètres carrés d'océan pour faire un seul repas. Tout comme dans les déserts terrestres, la vie peut être rude dans l'infinité bleue. Critique : Suite de la superproduction océanique made in BBC, qui continue de nous émerveiller avec ses ahurissantes séquences témoignant de la vie des espèces marines. Clou du spectacle : l'incroyable activité géologique filmée dans le Golfe du Mexique.

Le rôle de la moto au cinéma

Planète bleue, Voyage au coeur des océans, diffusion du samedi 21 avril 2018 à 20h55

Les océans couvrent 70% de la surface de notre planète. Des labyrinthes des fjords de Norvège au Pacifique Sud, en passant par la mer de Cortès, au Mexique, ce documentaire montre comment évoluent les animaux qui peuplent les océans et les mers de la planète. Qu'ils volent à leur surface ou y plongent pour s'y nourrir, comme les sternes ou les macareux moines, les oiseaux doivent tous défier la force des vagues et les prédateurs qu'elles abritent s'ils veulent survivre. Quant à ceux qui vivent sous la surface de l'eau, ils doivent faire preuve d'ingéniosité et d'esprit d'équipe, comme les dauphins, les orques ou les poissons-clowns, pour se nourrir et se reproduire. Critique : Des lagons du Pacifique aux glaces de l'océan Arctique, dans les profondeurs abyssales et à flanc des falaises les plus vertigineuses, les équipes de la BBC sont allées pêcher des nouvelles inédites de la vie du grand bleu. Plongez-y !