Diffusions passées:
Mune, le gardien de la Lune, diffusion du mardi 28 janvier 2020 à 21h00
La Lune, le Soleil, un petit faune amoureux d'une demoiselle bougie et des créatures qui évoquent Salvador Dalí dans un style entre Besson et Miyazaki : un film d'animation français très ambitieux, très influencé et très réussi.
Mune, le gardien de la Lune, diffusion du vendredi 11 janvier 2019 à 18h55
La Lune, le Soleil, un petit faune amoureux d'une demoiselle bougie et des créatures qui évoquent Salvador Dalí dans un style entre Besson et Miyazaki : un film d'animation français très ambitieux, très influencé et très réussi. Critique : Dans ce monde fabuleux, le Soleil a rendez-vous avec la Lune, et chacun des deux astres a son gardien. Surprise : c’est un petit faune facétieux qui est désigné malgré lui comme veilleur lunaire et gardien de la nuit. Inexpérimenté, il laisse les ténèbres se charger du Soleil. Aidé d’un autre gardien nettement plus fier-à-bras et de la fondante Cire, il va essayer de remettre l’ombre et la lumière à leur place… Tout, dans cette animation féerique et diablement efficace, marche par deux : l’association d’un petit nouveau (Benoît Philippon) et d’un pro (Alexandre Heboyan). Le Soleil et la Lune, bien sûr. Le bien et le mal, comme dans tout bon film pour le jeune public, qui aime que la lumière l’emporte sur l’obscurité après maintes péripéties… Et le couple de héros : un faune d’un bleu très Luc Besson et une demoiselle-bougie à la Tim Burton. Les décors — forêts épaisses avec de superbes loupiotes, frontières fluctuantes entre ombres et clarté — sont particulièrement réussis. Et si le film digère intelligemment une multitude de références animées, c’est surtout à Miyazaki et à Salvador Dalí que font penser les créatures de ce conte sylvestre et astral.
Mune, le gardien de la Lune, diffusion du vendredi 25 mai 2018 à 19h00
La Lune, le Soleil, un petit faune amoureux d'une demoiselle bougie et des créatures qui évoquent Salvador Dalí dans un style entre Besson et Miyazaki : un film d'animation français très ambitieux, très influencé et très réussi. Critique : | Genre : conte lumineux. Dans ce monde fabuleux, le Soleil a rendez-vous avec la Lune, et chacun des deux astres a son gardien. Surprise : c’est un petit faune facétieux qui est désigné malgré lui comme veilleur lunaire et gardien de la nuit. Inexpérimenté, il laisse les ténèbres se charger du Soleil. Aidé d’un autre gardien nettement plus fier-à-bras et de la fondante Cire, il va essayer de remettre l’ombre et la lumière à leur place… Tout, dans cette animation féerique et diablement efficace, marche par deux : l’association d’un petit nouveau (Benoît Philippon) et d’un pro (Alexandre Heboyan). Le Soleil et la Lune, bien sûr. Le bien et le mal, comme dans tout bon film pour le jeune public, qui aime que la lumière l’emporte sur l’obscurité après maintes péripéties… Et le couple de héros : un faune d’un bleu très Luc Besson et une demoiselle-bougie à la Tim Burton. Les décors — forêts épaisses avec de superbes loupiotes, frontières fluctuantes entre ombres et clarté — sont particulièrement réussis. Et si le film digère intelligemment une multitude de références animées, c’est surtout à Miyazaki et à Salvador Dalí que font penser les créatures de ce conte sylvestre et astral.
Mune, le gardien de la Lune, diffusion du dimanche 20 mai 2018 à 22h35
La Lune, le Soleil, un petit faune amoureux d'une demoiselle bougie et des créatures qui évoquent Salvador Dalí dans un style entre Besson et Miyazaki : un film d'animation français très ambitieux, très influencé et très réussi. Critique : | Genre : conte lumineux. Dans ce monde fabuleux, le Soleil a rendez vous avec la Lune, et chacun des deux astres a son gardien. Surprise : c'est un petit faune facétieux qui est désigné malgré lui comme veilleur lunaire et gardien de la nuit. Inexpérimenté, il laisse les ténèbres se charger du Soleil. Aidé d'un autre gardien nettement plus fier-à-bras et de la fondante Cire, il va essayer de remettre l'ombre et la lumière à leur place... Tout, dans cette animation féerique et diablement efficace, marche par deux : l'association d'un petit nouveau (Benoît Philippon) et d'un pro (Alexandre Heboyan). Le Soleil et la Lune, bien sûr. Le bien et le mal, comme dans tout bon film pour le jeune public, qui aime que la lumière l'emporte sur l'obscurité après maintes péripéties... Et le couple de héros : un faune d'un bleu très Luc Besson et une demoiselle-bougie à la Tim Burton. Les décors — forêts épaisses avec de superbes loupiotes, frontières fluctuantes entre ombres et clarté — sont particulièrement réussis. Et si le film digère intelligemment une multitude de références animées, c'est surtout à Miyazaki et à Salvador Dalí que font penser les créatures de ce conte sylvestre et astral. Trop d'influences ? Pas quand elles aident à décrocher la lune. — Guillemette Odicino
Mune, le gardien de la Lune, diffusion du jeudi 10 mai 2018 à 22h20
Mune, le gardien de la Lune, diffusion du lundi 30 avril 2018 à 20h55
Mune, le gardien de la Lune, diffusion du vendredi 05 mai 2017 à 01h40
Mune, faune turbulent et épris de liberté, profite de la moindre occasion pour sortir de chez lui. La jolie Cire, qui fond au soleil, n'a pas cette chance car son père veille. Contre toute attente, Mune est nommé gardien de la Lune. Inexpérimenté, il commet une grave erreur et le gardien des Ténèbres parvient à voler le Soleil. Le grand et charismatique Sohone, qui était en chargé de sa protection, enrage contre Mune. Il fait néanmoins équipe avec Cire et le jeune faune pour mettre le gardien des Ténèbres hors d'état de nuire. Ils croisent sur leur route des créatures féeriques et vivent de folles aventures... -- Critique : La Lune, le Soleil, un petit faune amoureux d'une demoiselle bougie et des créatures qui évoquent Salvador Dalí dans un style entre Besson et Miyazaki : un film d'animation français très ambitieux, très influencé et très réussi.
