Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du vendredi 10 août 2018 à 21h50

Saison : 1 - Episode : 8 - Les doutes de Julien se tournent vers la dernière personne à qui il aurait pensé. Molina et la famille de Léa vont enfin découvrir la vérité sur la mort de la jeune fille...

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du vendredi 10 août 2018 à 20h55

Saison : 1 - Episode : 7 - Le couple Morel, qui ne réussit pas à surmonter la disparition de Léa, est au bord de la séparation. Quant à Thomas, il a l'étrange et désagréable impression que Chris essaie de prendre la place de sa soeur au sein de la famille. L'enquête avance : Molina et Camille découvrent que le jour de sa mort, Léa avait rendez-vous avec son moniteur de pilotage. Les enquêteurs ne tardent pas à exploiter cette piste. Ce nouvel élément leur permettra-t-il de découvrir enfin ce qui s'est réellement passé la nuit du 21 juin ? En s'intéressant à ce cours de pilotage, ils découvrent un nouvel élément inattendu... Critique : Une série policière plutôt bien ficelée, qui évoque Broadchurch, The Killing, FBI, portés disparus ou encore le film Garde à vue. Pas mal, comme patrimoine génétique !

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du jeudi 09 août 2018 à 22h40

Saison : 1 - Episode : 6 - Nicolas, le serveur, met fin à ses jours, en s'accusant des meurtres de Léa et de Jenny. Mais rapidement, des éléments troublants viennent contredire ses aveux. Chris, elle, se rapproche de Romain, dont elle est amoureuse depuis longtemps, ce qui met tout son entourage très mal à l'aise, si peu de temps après la disparition de Léa. L'enquête se poursuit pour élucider la mort des deux jeunes femmes, les aveux de Nicolas n'étant pas jugés assez convaincants. Ces moments sont éprouvants pour la famille de Léa, notamment pour sa mère, Florence, à bout de nerfs... Critique : Si vous n'avez pas encore vu la fin décisive de l'épisode précédent, évitez de poursuivre votre lecture. Au risque de découvrir un peu trop tôt que... désormais, on ne recherche plus Léa mais son ou ses meurtriers. Le corps découvert par la fille du commandant Molina au bord du lac de Miribel-Jonage est bien celui de l'adolescente. Consacré au choc provoqué par la mort de Léa, ce cinquième épisode relègue un peu en marge l'intrigue policière pour décrire les « jours d'après » : ceux où Florence, la mère, se bat pour maintenir un semblant de normalité dans la vie de sa plus jeune fille, et où Jean, le père, replonge jusqu'à l'obsession dans sa quête de vérité. S'il y a ici ou là un léger excès de démonstration (et des faiblesses d'interprétation), Disparue se sort plutôt bien de ces situations périlleuses : la sobriété l'emporte sur les torrents de larmes qui menacent, et le regard porté sur ces personnages brisés se révèle souvent juste et subtil. — Isabelle Poitte

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du jeudi 09 août 2018 à 21h45

Saison : 1 - Episode : 5 - L'identité du corps retrouvé dans le lac est dévoilée. Chris, la cousine de Léa, se rapproche de Florence, Julien, Thomas et de la petite Zoé. Molina, lui, apprend que Léa cachait un autre secret à tout le monde. Aidé de Julien, il découvre qu'un des témoins a menti, en prétendant ne pas êre allé au Loft Club le soir de l'anniversaire de Léa. Malgré ces nouveaux éléments, la vérité semble toujours hors d'atteinte. Mais Julien est prêt à tout pour comprendre ce qui s'est passé exactement en cette nuit tragique du mois de juin... Critique : Si vous n'avez pas encore vu la fin décisive de l'épisode précédent, évitez de poursuivre votre lecture. Au risque de découvrir un peu trop tôt que... désormais, on ne recherche plus Léa mais son ou ses meurtriers. Le corps découvert par la fille du commandant Molina au bord du lac de Miribel-Jonage est bien celui de l'adolescente. Consacré au choc provoqué par la mort de Léa, ce cinquième épisode relègue un peu en marge l'intrigue policière pour décrire les « jours d'après » : ceux où Florence, la mère, se bat pour maintenir un semblant de normalité dans la vie de sa plus jeune fille, et où Jean, le père, replonge jusqu'à l'obsession dans sa quête de vérité. S'il y a ici ou là un léger excès de démonstration (et des faiblesses d'interprétation), Disparue se sort plutôt bien de ces situations périlleuses : la sobriété l'emporte sur les torrents de larmes qui menacent, et le regard porté sur ces personnages brisés se révèle souvent juste et subtil. — Isabelle Poitte

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du jeudi 09 août 2018 à 20h55

Saison : 1 - Episode : 4 - Un homme étrange se présente au commissariat et s'accuse du meurtre de Léa. Il révèle à la police l'endroit où il prétend avoir enterré le corps de la jeune fille. Molina et son équipe n'y découvrent pas de cadavre, mais seulement le portefeuille de Léa. Puis, c'est le corps de Jenny, une prostituée, qui est retrouvé. Dans son sac à main se trouve le téléphone portable de la jeune disparue. Quel est le lien entre Jenny et Léa ? Le mystère s'épaissit autour de la disparition de l'adolescente, à mesure que les espoirs de la retrouver vivante s'amenuisent. Pourtant, Florence, sa mère, refuse de croire que sa fille est morte... Critique : Est-ce bien Léa qui a laissé un message sur le téléphone portable de son père ? Pour ses parents, aucun doute : ces quelques mots chuchotés sont bien la preuve que la jeune fille est vivante et, peut-être, retenue contre son gré... Pour le commandant Molina, chargé de l'affaire, rien n'est moins sûr. Des analyses s'imposent, et l'enquête se poursuit, révélant que Thomas, le frère de Léa, a menti sur son emploi du temps le soir de la disparition. Après le père, c'est à l'aîné de la famille Morel de dévoiler ses secrets... Si les rouages de l'intrigue grincent un peu, Disparue réussit là où pèchent beaucoup de séries françaises : donner vie à une galerie de personnages nuancés, ancrés dans une vie quotidienne crédible. Le bourru flic Molina, par exemple, se révèle touchant dans sa façon maladroite de regagner l'affection de sa fille adolescente. François-Xavier Demaison s'impose tout en sobriété, quand Pierre-François Martin-Laval, écrasé par le poids de son rôle de père que dévore l'angoisse, sombre dans la démonstration... Mais malgré ses faiblesses et l'absence d'un petit supplément d'âme, Disparue est une contribution prometteuse au nécessaire renouveau de la série policière hexagonale. — Isabelle Poitte

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du mercredi 08 août 2018 à 22h35

Saison : 1 - Episode : 3 - A Lyon, le 21 juin, Léa, qui fêtait ses 17 ans, avait promis de rentrer à trois heures du matin. Elle s'est rendue à la Fête de la musique. Mais au petit matin, la jeune fille n'est pas rentrée. En pleine nuit, effrayée, elle a laissé un message sur le téléphone portable de son père, lui demandant de l'aider. Cet appel, qui est localisé dans les environs de la gare, ravive l'espoir de tous et relance l'enquête. Aidé de Nicolas, serveur au restaurant Morel, Julien se met à écouter les communications de la police sur une radio trafiquée. Il commence sa propre enquête... Critique : Est-ce bien Léa qui a laissé un message sur le téléphone portable de son père ? Pour ses parents, aucun doute : ces quelques mots chuchotés sont bien la preuve que la jeune fille est vivante et, peut-être, retenue contre son gré... Pour le commandant Molina, chargé de l'affaire, rien n'est moins sûr. Des analyses s'imposent, et l'enquête se poursuit, révélant que Thomas, le frère de Léa, a menti sur son emploi du temps le soir de la disparition. Après le père, c'est à l'aîné de la famille Morel de dévoiler ses secrets... Si les rouages de l'intrigue grincent un peu, Disparue réussit là où pèchent beaucoup de séries françaises : donner vie à une galerie de personnages nuancés, ancrés dans une vie quotidienne crédible. Le bourru flic Molina, par exemple, se révèle touchant dans sa façon maladroite de regagner l'affection de sa fille adolescente. François-Xavier Demaison s'impose tout en sobriété, quand Pierre-François Martin-Laval, écrasé par le poids de son rôle de père que dévore l'angoisse, sombre dans la démonstration... Mais malgré ses faiblesses et l'absence d'un petit supplément d'âme, Disparue est une contribution prometteuse au nécessaire renouveau de la série policière hexagonale. — Isabelle Poitte

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du mercredi 08 août 2018 à 21h50

Saison : 1 - Episode : 2 - Julien, le père de Léa, est placé en garde à vue. Il a menti sur son alibi et refuse de s'expliquer. Florence est anéantie, comme le frère de Julien, Jean, qui travaille avec lui au restaurant familial. L'enquête de Molina, aidé par son adjointe Camille, révèle aussi que Léa pratiquait depuis peu la course automobile, à l'insu de ses parents. Comment la jeune fille se procurait-elle l'argent pour financer les cours ?... Critique : La veille de ses 17 ans, Léa, jolie et pétillante Lyonnaise, sort avec sa cousine et meilleure amie, Chris. C'est la fête de la Musique, les heures filent... et Florence, la mère de Léa, commence à s'inquiéter. Au petit matin, la jeune fille n'est toujours pas rentrée. Présomption de fugue au commissariat, attente angoissée des proches, coups de fil et messages restant sans réponse... Le couperet tombe : Léa a disparu, et une longue enquête commence. Adaptée très librement d'une série espagnole (Desaparecida, 2007), Disparue marche sur les traces de The Killing ou Broadchurch, ces séries qui ont renouvelé l'approche de l'enquête policière en la nimbant d'une tonalité âcre et ambiguë, à la croisée du drame intimiste et du suspense. En quête de ce supplément d'âme (tourmentée), les scénaristes ont retenu une leçon essentielle : l'intrigue, des plus classiques, repose tout entière sur le soin apporté aux personnages, êtres prétendument ordinaires qui, dans l'adversité, dévoilent leur part d'ombre (souvent épaisse) et leur capacité de résistance. Certains sont particulièrement réussis et subtils, comme Florence, la mère (Alix Poisson, très juste), bouleversante dans son obstination à rester debout. Mais ce souci de réalisme et de nuances psychologiques se greffe assez mal à une narration trop mécanique, chaque épisode suivant un schéma presque invariable : désignation d'un suspect, révélations en ­cascade... et, in extremis, ouverture d'une nouvelle piste. Aucun des proches de Léa n'échappe à l'engrenage du soupçon et à l'examen de conscience : cela donne parfois l'impression d'assister à la grande braderie des vilains secrets... — Isabelle Poitte [[214152]]

Le rôle de la moto au cinéma

Disparue, diffusion du mercredi 08 août 2018 à 20h55

Saison : 1 - Episode : 1 - A Lyon, le 21 juin, Léa Morel s'apprête à fêter ses 17 ans. L'occasion pour l'adolescente de sortir avec ses amis et de profiter de la bonne ambiance que diffuse dehors la Fête de la musique. Ses parents, Florence et Julien, ont donné la permission de trois heures. Mais au petit matin, Léa n'est toujours pas rentrée. Une terrible attente commence alors pour la famille. Le lieutenant Molina, fraîchement arrivé de Paris, enquête sur cette disparition inquiétante. Florence et Julien, désemparés, ne tardent pas à découvrir, au fil de l'enquête, qu'ils ignoraient des pans entiers de la vie de leur fille... Critique : La veille de ses 17 ans, Léa, jolie et pétillante Lyonnaise, sort avec sa cousine et meilleure amie, Chris. C'est la fête de la Musique, les heures filent... et Florence, la mère de Léa, commence à s'inquiéter. Au petit matin, la jeune fille n'est toujours pas rentrée. Présomption de fugue au commissariat, attente angoissée des proches, coups de fil et messages restant sans réponse... Le couperet tombe : Léa a disparu, et une longue enquête commence. Adaptée très librement d'une série espagnole (Desaparecida, 2007), Disparue marche sur les traces de The Killing ou Broadchurch, ces séries qui ont renouvelé l'approche de l'enquête policière en la nimbant d'une tonalité âcre et ambiguë, à la croisée du drame intimiste et du suspense. En quête de ce supplément d'âme (tourmentée), les scénaristes ont retenu une leçon essentielle : l'intrigue, des plus classiques, repose tout entière sur le soin apporté aux personnages, êtres prétendument ordinaires qui, dans l'adversité, dévoilent leur part d'ombre (souvent épaisse) et leur capacité de résistance. Certains sont particulièrement réussis et subtils, comme Florence, la mère (Alix Poisson, très juste), bouleversante dans son obstination à rester debout. Mais ce souci de réalisme et de nuances psychologiques se greffe assez mal à une narration trop mécanique, chaque épisode suivant un schéma presque invariable : désignation d'un suspect, révélations en ­cascade... et, in extremis, ouverture d'une nouvelle piste. Aucun des proches de Léa n'échappe à l'engrenage du soupçon et à l'examen de conscience : cela donne parfois l'impression d'assister à la grande braderie des vilains secrets... — Isabelle Poitte [[214152]]