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Le rôle de la moto au cinéma

Twilight, chapitre 3 : hésitation, diffusion du dimanche 27 janvier 2019 à 23h10

La suite de la suite des aventures sentimentalo-fantastiques du célèbre trio vampire-nymphette-loup-garou, adaptée des romans de Stephenie Meyer. Rien de nouveau n'émerge au rayon bluette. Critique : | Genre : rien de nouveau sous le fond de teint. Bon, on en est où ? Dans ce troisième épisode, Bella, l'ado vampirophile, s'est rabibochée avec Edward, son playboy d'outre-tombe, toujours aussi blafard (la seule chose vraiment effrayante, ici, c'est l'abus de fond de teint). Seulement voilà, elle nourrit aussi de troubles sentiments pour Jacob le loup-garou, ­jeune armoire à glace amérindienne en bermuda, au cou aussi épais que la cuisse de David Douillet. Sinon, c'est comme d'habitude : regards langoureux, serments, bisous-bisous puritains (le sexe avant le mariage, c'est très vilain, même avec un vampire) et terrible menace sur les frêles épaules de notre héroïne, cette fois aux prises avec une non-morte rouquine et vengeresse... A force d'entendre le refrain, on connaît la chanson : 1,1 milliard de dollars de recettes mondiales pour les deux premiers volets de la saga, et sans doute encore plus pour les épisodes 3 et 4, tous adaptés de l'« über-best-seller » de Stephenie Meyer. Une affaire qui roule, qui écrase même tout sur son passage. Y compris la personnalité des cinéastes embauchés, à tour de rôle, pour empiler scènes de ralenti ­quasi parodiques et mièvres tête-à-tête romantiques... Après Catherine Hardwicke et Chris Weitz, on espérait (vaguement) de David Slade, pro du film de vampires (le jouissif et sanglant 30 Jours de nuit). Eh bien, non : Twilight 3 ressemble toujours à Twilight, avec ses héros figés, glacés, dont la peau brille comme du sucre, pour attirer les petites filles... — Cécile Mury

Le rôle de la moto au cinéma

Twilight, chapitre 3 : hésitation, diffusion du dimanche 20 janvier 2019 à 21h00

Le rôle de la moto au cinéma

Twilight, chapitre 3 : hésitation, diffusion du lundi 23 avril 2018 à 23h10

La suite de la suite des aventures sentimentalo-fantastiques du célèbre trio vampire-nymphette-loup-garou, adaptée des romans de Stephenie Meyer. Rien de nouveau n'émerge au rayon bluette. Critique : Bon, on en est où ? Dans ce troisième épisode, Bella, l'ado vampirophile, s'est rabibochée avec Edward, son playboy d'outre-tombe, toujours aussi blafard (la seule chose vraiment effrayante, ici, c'est l'abus de fond de teint). Seulement voilà, elle nourrit aussi de troubles sentiments pour Jacob le loup-garou, ­jeune armoire à glace amérindienne en bermuda, au cou aussi épais que la cuisse de ­David Douillet. Sinon, c'est comme d'habitude : regards langoureux, serments, bisous-bisous puritains (le sexe avant le mariage, c'est très vilain, même avec un vampire) et terrible menace sur les frêles épaules de notre héroïne, cette fois aux prises avec une non-morte rouquine et vengeresse... A force d'entendre le refrain, on connaît la chanson : 1,1 milliard de dollars de recettes mondiales pour les deux premiers volets de la saga et sans doute encore plus pour les épisodes 3 et 4, tous adaptés de l'« über-best-seller » de Stephenie Meyer. Une affaire qui roule, qui écrase même tout sur son passage. Y compris la personnalité des cinéastes embauchés, à tour de rôle, pour empiler scènes de ralenti ­quasi parodiques et mièvres tête-à-tête romantiques... Après Catherine Hardwicke et Chris Weitz, on espérait (vaguement) de David Slade, pro du film de vampires (le jouissif et sanglant 30 Jours de nuit). Eh bien non : Twilight 3 ressemble toujours à Twilight, avec ses héros figés, glacés, dont la peau brille comme du sucre, pour attirer les petites filles...

Le rôle de la moto au cinéma

Twilight, chapitre 3 : hésitation, diffusion du lundi 16 avril 2018 à 21h00