Diffusions passées:

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du jeudi 18 octobre 2018 à 23h50

HHhH : acronyme allemand pour « Le cerveau de Himmler s'appelle Heydrich ». Film mélodramatique et indigeste sur le « bourreau de Prague », l'un des principaux responsables de la solution finale. Critique : | Genre : mélo Historique. Le titre n’est jamais expliqué. HHhH est, en fait, l’acronyme allemand pour « le cerveau de Himmler s’appelle Heydrich ». ­Soit le surnom donné par les SS à Reinhard Heydrich, sanguinaire dirigeant politique de Bohême-Moravie. Dans le livre qu’il a consacré au « Bourreau de Prague », Laurent Binet s’interrogeait sur la difficulté de romancer des faits historiques. Aucune réflexion dans cette adaptation. Cédric Jimenez s’intéresse plus à l’action qu’à la complexité de Heydrich. Et il ne recule devant aucune ficelle mélodramatique. Indigeste…

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du lundi 15 octobre 2018 à 13h35

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du vendredi 01 juin 2018 à 13h30

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du mardi 29 mai 2018 à 10h05

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du lundi 21 mai 2018 à 15h30

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du vendredi 11 mai 2018 à 00h00

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du samedi 28 avril 2018 à 23h20

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du vendredi 27 avril 2018 à 16h05

Le rôle de la moto au cinéma

HHhH, diffusion du samedi 21 avril 2018 à 20h55

HHhH : acronyme allemand pour « Le cerveau de Himmler s'appelle Heydrich ». Film mélodramatique et indigeste sur le « bourreau de Prague », l'un des principaux responsables de la solution finale. Critique : Le titre n'est jamais expliqué. HHhH est, en fait, l'acronyme allemand pour « Le cerveau de Himmler s'appelle Heydrich ». ­Surnom donné par les SS à Reinhard ­Heydrich, sanguinaire « protecteur » de ­Bohême-Moravie. Dans le livre qu'il a consacré au « Bourreau de Prague », Laurent Binet s'interrogeait sur la difficulté de romancer des faits historiques. Aucune réflexion dans l'adaptation de Cédric Jimenez. Le réalisateur s'intéresse plus à ses séquences d'action qu'à la complexité de Heydrich. Et il ne recule devant aucune ficelle mélodramatique. Indigeste... — Samuel Douhaire